Ce jeudi 18 septembre 2014 à Strasbourg en France, le Parlement Européen, signant un “torchon” de revendications – sans queue ni tête – concoctées par la – société civile uprona – ( celle des enfants de l’élite la Dictature des Bahima burundais ) , démontrant que les Parlementaires ne connaissent nullement le Burundi, a demandé la libération immédiate du Président de l’APRODH, M. Pierre Claver Mbonimpa. Ce dernier est en procès judiciaire au Burundi pour avoir tenter de mettre en conflit le Burundi, la RDC Congo, mais aussi le Rwanda. Sans preuve, M. Pierre Claver Mbonimpa avait fait des affirmations et des accusations graves vis à vis des autorités burundaises. L’État l’avait alors poursuivi pour ses propos. M. Pierre Claver Mbonimpa, ne sachant prouver ses dires, aujourd’hui avec ses avocats, il joue sa dernière carte pour éviter la prison. Ses avocats disent qu’il est malade et que dès lors il faut le libérer…
- Résolution du Parlement européen sur le Burundi, en particulier le cas de Pierre Claver Mbonimpa (2014/2833(RSP)) [ http://burundi-agnews.org/wp-content/uploads/2014/09/Résolution-du-Parlement-européen-sur-le-Burundi.doc ]
Pour démontrer à suffisance que le Parlement Européen ne domine pas le dossier, ce dernier demande de mener des enquêtes indépendantes sur les propos de M. Pierre Claver Mbonimpa que lui – même ne peut prouver. Il s’agit notamment “de probables entraînements militaires des jeunes burundais dans la localité de Kiliba Ondes dans la République Démocratique du Congo”.
Pourtant, la MONUSCO ( les Forces Onusiennes sur place), les fameuses FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) et les autorités congolaises, qui sont sur place en RDC Congo, ont fait un démenti catégorique sur la présence de ses jeunes burundais au Congo.
Les autorités burundaises et les FDN ( Forces de Défenses Nationales burundaise) ont aussi démenti catégoriquement.
Selon une personne qui était présentée jeudi à Strasbourg, les Parlementaires Européens, ceux qui étaient présents ( beaucoup de novices provenant des nouveaux pays de l’Union Européenne ), ont eu une proposition de résolution toute faite ( avec l’aide de Parlementaires Français et Belges francophones ) sur leur table et ils l’ont adopté.
Mais, seulement le problème est que ce type de comportement a des conséquences diplomatiques énormes car le Burundi cherche des fonds pour organiser ses élections démocratiques dans quelque mois. A cause, de cette résolution, l’argent pour organiser les élections risque d’arriver au compte goutte dans ce pays…
Au Burundi, de nombreux citoyens Barundi en ont marre des leaders de ces associations dite des enfants de l’élite la Dictature des Bahima burundais ( Micombero, Bagaza, Buyoya), soutenus par la France et les libéraux Belges francophones ( le fameux réseau des anciens colons de la France-Afrique ), qui font toujours tout pour mettre des bâtons dans les roues de l’état de droits et de la Démocratie burundaise qui se reconstruit peu à peu depuis 2005 (Retour des institutions démocratiques). Ces organisations ne cessent de salir l’image du Burundi, en poussant les autorités européennes à des comportements non conforme aux Accords qui lient le Burundi à l’Union Européenne. Pour cause, la Dictature que leurs parents avait instauré au Burundi à partir de 1965 jusqu’en 2003, a fait plus de 4,5 Millions de victimes Barundi en 40 ans de pouvoir.
DAM, NY, AGNEWS, le 20 septembre 2014