Attention ces scènes de violence, vues ces derniers jours, sont très localisés à Bujumbura. Ce n’est donc pas la peine de vouloir faire un amalgame et dire que tout le Burundi est touché par l’insécurité, comme les média occidentaux le font en ce moment. 99% du Burundi est en totale sécurité aujourd’hui.
A Buterere, en province de Bujumbura Mairie, ce mardi 12 mai 2015, des drogués burundais, fournis en drogues gratuitement et payés quotidiennement par les opposants à la Candidature de S.E. Nkurunziza Pierre, le très populaire Président africain du Burundi, aujourd’hui, ont failli lyncher une mère de famille, policière burundaise,venue leur rappeler gentiment qu’il était interdit de manifester car désormais la campagne électorale 2015 avait commencer.
C’est alors qu’un des drogués s’est approché d’elle, et puis attirant le groupe, ils ont été pris par un délire collectif et ont voulu lyncher la jeune mère policière burundaise. Heureusement, un citoyen burundais s’est interposé en tentant de ramener à la raison ces drogués, espérant une arrivée de la police en renfort.
Pire encore voici ce que rapporte un Média proche des opposants à la candidature Nkurunziza ,leur version est que la policière aurait tirée à la balle réelle sur eux, pour presque pardonner l’acte ignoble de ces drogués. Ensuite, le reportage dira que les délinquants ont alors rendu la policière à la Police. Pour terminer, la caméra ira filmer des douilles d’une arme pour tenter de corroborer leur dire. Mais, pas chance pour ces journalistes , la police burundaise sait que ces voyous sont armés et dispose de grenades. Selon les prisonniers dont les langues commencent à se délier, ces voyous auraient reçu comme consignes pour satisfaire aux photo et aux films des média occidentaux : de tirer dans les foules avec des balles réelles en accusant la police, de brûler des pneus pour produire beaucoup de fumer et de lancer des grenades sur des véhicules dans les rues…
Depuis le 26 avril 2015 à nos jours, 22 personnes ont perdu la vie. La majorité des victimes sont d’abord de simples citoyens burundais, des badauds, indexés comme étant membre du parti CNDD-FDD, comme cette personne qui s’est interposé face à ces drogués violents, mais aussi des policiers burundais, des militaires. Actuellement, 4 manifestants sont morts faisant face à la Police burundaise, souvent en position de légitime défense.
Alors comme vous le voyez, les organisateurs de ces manifestations sauvages et interdites, ne sont pas là sur place. Mais, ce sont eux qui demandent aux diplomates Belges, Français et Américains, à Bujumbura, de pousser l’Etat du Burundi à des négociations. Ce qui est plus paradoxales, c’est que les diplomates vont alors dire que l’Etat du Burundi ne veut pas négocier avec ces manifestants drogués. De plus, grâce aux photo, de nombreux délinquants parmi ces drogués sont alors interpellés et arrêtés par la police. Ils sont jugés et mis en prison pour leurs actes. Puis, les diplomates Belges, Français , et des USA , disent à travers leur média que l’opposition burundaise n’a pas droit à la parole au Burundi et que les opposants sont emprisonnés. Dès lors, pour ces derniers ( les diplomates ) les conditions pour les élections ne sont pas réunis.
C’est cette réalité que vit aujourd’hui le Burundi ! Ce ne sont que 4 quartiers éparpillés dans 3 communes de la province de Bujumbura mairie qui sont en proie à une insurrection hyper-médiatisée par les ennemis du Burundi qui espèrent tromper l’opinion internationale, avec leurs Média (French Media Network FMN et la Samanta Power US Connection SPUC – http://burundi-agnews.org/uncategorized/?p=17494 ), un peu comme en Égypte, en disant que c’est tout le Burundi qui est en feu. Le Burundi, ce sont 119 communes et 18 provinces. De plus, lorsque les forces de l’ordre veulent y mettre un terme, à cette insurrection, ce sont les diplomates ennemis du Burundi qui avancent en disant « si vous touchez à ses jeunes manifestants, ce sera la CPI et on coupera les fonds de la Police et de l’armée « .
Ainsi, désormais ces diplomates sont découverts, car en plus de mentir à leur opinion national sur la réalité de la situation au Burundi, ils alimentent financièrement et politiquement ceux qui veulent mettre le désordre dans le pays. Lundi 11 mai 2015, ces diplomates ont été démasqués. Ils ont avoué ne pas vouloir des élections démocratiques au Burundi en 2015. C’est à dire en gros ils veulent un État anarchique. Ils ne vont plus soutenir financièrement le Burundi pour l’organisation des élections de 2015. C’est la joie chez les Barundi car cette fois-ci la Colonisation se termine enfin. La tentative de faire une place Tarir à Bujumbura semble avoir échoué.
DAM, NY, AGNEWS, le mardi 12 mai 2015