GÉOPOLITIQUE, ONU, DROIT DE L’HOMME ou DH, le Ministre burundais des Droits de la personne humaine dénonce la non collaboration de l’ONU au niveau du CONSEIL DES DROITS DE L’HOMME à Genève.
A Bujumbura, Kigobe au Parlement Burundais, ce mercredi 30 août 2017, devant les députés en séance plénière sous l’égide de l’Hon. Nyabenda Pascal, Président de l’Assemblée nationale du Burundi, M. Nivyabandi Martin, Ministre burundais des Droits de la personne humaine, a dénoncé le fait que les rapports périodiques produits, au niveau du ministère burundais, sur la situation des droits de l’Homme au Burundi, envoyés au Conseil des Droits de l’Homme à l’ONU, ne sont jamais pris en compte. Pourtant ils permettent de donner le point de vue de l’Etat sur ce sujet et ainsi de nuancer fortement les FAUX RAPPORTS de certaines ONGS DE DROIT DE L’HOMME ( ONGs occidentales ou assimilés ) souvent au service de multinationales prédatrices en Afrique. Selon le Ministre, les rapports produits par ces ONGS prédatrices souvent contre le Burundi ne sont pas professionnels mais sont politiquement motivés ou orientés. C’est à dire que, par exemple, les faits sont totalement absents ( chiffres de victimes sans noms et identités localisables par l’ETAT ). Mais le mot IMBONERAKURE [1] dans ces rapports apparaîtra un très grand nombre de fois.
Le Ministre dénonce le fait que le Burundi collabore avec le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU à Genève. Mais l’inverse est FAUX. Le Ministre burundais des Droits de la personne humaine dénonce cette non collaboration de l’ONU, dont le Burundi est membre.
Au Burundi, selon le Ministre Nivyabandi, la situation des droits de l’Homme au Burundi évolue positivement notamment grâce aux efforts fournis par les corps de défense et de sécurité et les instances judiciaires du pays.
Le Burundi va se retirer de la Cour Pénale Internationale (CPI) en octobre 2017, à cause de la guerre géopolitique que mène, dans les Grands Lacs Africains, des multinationales occidentales, émanant d’anciennes familles de colons occidentaux ( principalement Belges, Françaises, Américaines, Canadiennes, Bourgs ( Blancs Sud-Africains) et Suisses ), contre la Chine.
Ces familles d’anciens colons occidentaux [2] souhaitent utiliser la CPI pour écarter les autorités Barundi gênantes pour faire pression sur l’Etat du Burundi, avec comme finalité, de placer au pouvoir au Burundi leurs Hommes de pailles burundais ( l’ancienne élite HIMA burundaise, déchue après la Guerre Civile du Burundi, entre 1993 à 2003, responsable du Génocide Régicide au Burundi : Plus de 4,5 Millions de victimes Barundi entre 1965-66 à 2003 – http://burundi-agnews.org/genocide.htm ; http://burundi-agnews.org/ccburundi.htm ; http://burundi-agnews.org/agnews_refugees.htm ). Les Barundi, Peuple d’Esprit, après la REVOLUTION DE COULEUR DE 2015 terminée par le fiasco du COUP D’ETAT MILITAIRE HIMA MANQUE DU MERCREDI 13 MAI 2015, ont compris qu’il fallait se tirer au plus vite de la CPI, instrument de cette GUERRE GEOSTRATEGIQUE OCCIDENTALE.
[1] Le mot IMBONERAKURE, nom des jeunes militants burundais du CNDD-FDD ( jeunes burundais de moins de 35 ans, membres de la 1ère formation politique du Burundi. Au Burundi, 70% de la population est jeune, c’est à dire qu’elle a moins de 35 ans ), est utilisé dans les campagnes diplomatique et médiatique contre les autorités burundaises depuis la préparation et le lancement de la REVOLUTION DE COULEURS entreprise entre 2013 et 2015. L’idée étant,qu’ – au niveau NOOLOGIQUE -, le commun des mortels confonde les IMBONERAKURE et les célèbres INTERAMHWE du Rwanda pendant le GENOCIDE DE 1994. L’effet de cette confusion est l’argumentaire massus – des agresseurs du Burundi – pour la jurisprudence au niveau des crimes de génocide, devant une Cour Internationale ( ex. LA CPI ).
[2] Burundi : Comprendre qui sont les acteurs du conflit burundais ! http://burundi-agnews.org/securite/burundi-comprendre-qui-sont-les-acteurs-du-conflit-burundais/
DAM, NY, AGNEWS, http://burundi-agnews.org, le vendredi 1 septembre 2017