A Paris, ce vendredi 28 octobre 2016, Reporters Sans Frontière, l’ONG Française des Média, a déposé à l’ambassade du Burundi à Paris une pétition qui a recueilli plus de 11000 signatures qui demande l’ouverture d’une enquête indépendante sur la disparition d’un journaliste burundais Jean Bigirimana.
M. Jean Bigirimana est un ancien journaliste d’une radio privé burundaise REMA FM, proche du pouvoir Burundais, qu’il a quitté pour travailler au journal IWACU, média privé proche de l’ancien régime burundais sous la dictature.
C’est ce journal IWACU qui a signalé la disparition de son journaliste en donnant des précisions assez douteuses car accusant à bas mot les services de renseignement burundais …
Le journal Iwacu [ iwacu-burundi.org ], dont le directeur M. Antoine KABURAHE, prix Reporter Sans Frontière RSF 2016, qui a fui le Burundi en 2015 suite à une enquête judiciaire liée à la tentative de putsch militaire de 2015, est fortement lié au Quaie D’Orsay et au Réseau OPEN SOCIETY de Soros. C’est à dire aux services secrets français et américain, par son partenariat en février/mars 2016 avec le Journal Le Monde Afrique [ http://drupal1.adbs.fr/node/174016 ] .
Voici ce que le géopoliticien M. KEMI SEBA dit par rapport au Journal Le Monde Afrique : [ https://www.youtube.com/watch?v=4DSV4gjZLuA ]
Le Burundi subit une Guerre Humanitaire depuis l’échec du Coup d’état militaire du mercredi 13 mai 2015, de la part des USA, de la France, de la Belgique, du Rwanda, et du réseau Media-Civil-Politique-Militaire et Policier de l’ancien dictateur Hima burundais Pierre Buyoya.
Concernant la disparition du journaliste Jean Bigirimana, les autorités Barundi penchent de plus en plus pour un complot … M. Jean Bigirimana était connu pour faire des aller Retour vers le Rwanda, où avait fui un membre de sa famille. Il faudrait plutôt demander au Rwanda où est M. Jean Bigirimana ? L’Etat du Burundi a ouvert une enquête concernant cette disparition.
A qui profite le crime ? Actuellement cette affaire permet de pointer du doigt au niveau international les autorités burundaises jusqu’ici totalement innocentes d’un point de vue judiciaire ( factuellement). L’idée de RSF, qui s’associe sans le dire au FIDH et à HRW, est de pousser à une enquête “indépendante” au Burundi par la CPI …
DAM, NY,AGNEWS, le samedi 29 octobre 2016