A Bujumbura, ce vendredi 18 novembre 2016, l’officier Pierre Nkurikiye, porte-parole de la Police Nationale du Burundi – PNB -, a voulu rassurer l’ opinion nationale et internationale et surtout les touristes, en leur disant qu’il n’y a aucun signe précurseur d’une violence armée quelconque due à des tensions politiques au Burundi.
Depuis la fin de la guerre civile au Burundi en 2003, l’Etat mène une politique de désarmement des populations civiles qui est aujourd’hui très avancée. Année en année, la PNB, par des campagnes de sensibilisation périodiques, encourage les citoyens Barundi détenteurs illégaux d’armes à les remettre de leur gré, en leur rappelant qu’ils s’exposent à des sanctions pénales.
Au Burundi, la PNB, au travers de cette communication, souhaitait réagir par rapport à certaines informations faisant état d’insécurité ( même de génocide … ) colportées par les pays ennemis du Burundi qui ont tenté de renverser le régime démocratique burundais en 2015, et qui mène actuellement contre le Burundi une Guerre Humanitaire en déversant des rapports des droits de l’Homme alarmistes non fondés factuellement, avec des chiffres farfelus, et média interposés ( à nouveau aussi par certains média privés locaux – financés depuis l’extérieur – des agents exogènes ).
La PNB rassure qu’, à travers les 18 provinces du Burundi, la population vaque normalement à ses activités quotidiennes. Les corps de défense et de sécurité burundaises sont parmi les plus efficaces en Afrique, et sont suffisamment préparés et outillés pour faire face à toute tentative de perturbation de la paix et de la sécurité.
DAM, NY, AGNEWS, le dimanche 20 novembre 2016