Zone Cibitoke, ce  mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin - photo circulant  sur facebook
Zone Cibitoke, ce mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin

A Bujumbura, en zone ou quartier Cibitoke,  ce mercredi  4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin.

Zone Cibitoke, ce  mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin
Zone Cibitoke, ce mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin

M. SUNGURA Gabin était un citoyen ordinaire, originaire de la Commune Gitaramu, en province de Karusi. Il était cadre de l’assurance Jubilee. Son malheur a été de tomber mercredi soir à Mutakura dans les mains de ces terroristes venus certainement du Rwanda selon les dernières indications. Ils ont tiré sur sa voiture Probox.

Zone Cibitoke, ce  mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin et brulé son véhicule.
Zone Cibitoke, ce mercredi 4 novembre 2015, des terroristes ont assassiné un citoyen burundais du nom de SUNGURA Gabin et brulé son véhicule.

Afin de semer la terreur auprès des habitants, ces terroristes ( financés par les USA, la France et la Belgique et organisés au Rwanda ) ont extrait le coeur de la victime avant de le tuer et le brûler. Par la suite, il lui ont fait une photo pour la publier sur Facebook et tweeter afin de permettre aux média internationaux ( RFI, BBC, et VOA ) d’accuser la Police Nationale du Burundi PNB et crier au génocide au Burundi suite à ces images choques.


Mercredi 4 novembre 2015, à Cibitoke, comme le rapport les confrères de burundi-iwacu.org [ https://www.youtube.com/watch?v=4lrupgfIWAY ], un badaud a été décapité par ce même groupe de terroristes qui tente de semer la terreur dans cette localité. Son corps a été retrouvé sans sa tête.

Pour les enquêteurs travaillant pour le procureur de la république, ces crimes chocs et dégueulasses ont commencé depuis que, à partir de Paris, en France, un opposant burundais ( familier à l’ancien dictateur Pierre Buyoya ), qui étaient impliqués dans le putsch militaire manqué du mercredi 13 mai 2015, a annoncé par presse interposé : «Qu’on ne se trompe pas, ce qui se passe en ce moment au Burundi, c’est le début d’un génocide» [ http://www.liberation.fr/planete/2015/11/04/au-burundi-c-est-un-genocide-qui-a-commence_1411086 ] afin qu’une intervention militaire de l’Union Africaine ou de l’ONU puisse s’organiser afin de renverser le pouvoir de Bujumbura. Ce ne sont plus des grenades désormais les terroristes tuent sauvagement  …   Il s’agissait d’un code de lancement de ces assassinats ciblés crapuleux dont l’objectif était d’émouvoir l’opinion internationale … La justice burundaise suit de très près un groupe de bloggers sur Facebook, Tweeter, et Whatsap dénommé -Sindumuja- qui diffusent des images de personnes assassinés, en référant qu’il s’agit de victimes de la police burundaise. Ces derniers sont liés à cet entreprise terroriste en cours …

Pourtant au Burundi, mardi 20 octobre 2015, le Commissaire de Police Principale, Alain-Guillaume Bunyoni, Ministre de la Sécurité Publique, avec à ses côtés M. Pascal Brandagiye Ministre burundais de l’intérieur,ont informé que la sécurité régnait à 98% dans tout le pays. Ce chiffre bilan – 98% – provenait des rapports des gouverneurs des 18 provinces du Burundi. Les 2% d’insécurité concernent 1 quartier ( le numéro 3 ) de la zone Ngagara et une partie de la zone Cibitoke.
Pour les autorités burundaises, cette campagne de rumeurs média, il s’agit ni plus ni moins d’une nouvelle campagne médiatique des agresseurs du Burundi que sont : Les USA, la France et la Belgique. Ces derniers, après avoir échoué avec leur Révolution de Couleur au Burundi ( tentative de renversement de régime entreprise entre avril et mai 2015 ) [ http://burundi-agnews.org/sports-and-games/?p=18679 ], essaient désormais de mobiliser l’intervention d’une force africaine dans le pays ( via une branche de l’Union Africaine corrompue ), alors qu’au niveau sécuritaire, 1 seul quartier ( Cibitoke ) sur 3002 collines et quartiers que compte le Burundi demeure encore en insécurité face à des attaques terroristes …

DAM, NY, AGNEWS, le jeudi 5 novembre 2015

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