A Mutakura – Bujumbura, ce vendredi 6 novembre 2015, des terroristes ont abattu un des enfants de M. Pierre-Claver Mbonimpa, président de l’APRODH. Ce sont les habitants de la localité qui l’ont trouvé mort dans l’après-midi de ce vendredi 6 novembre à la 12ème avenue à Mutakura et en ont informé la police. ll s’appelait Welly Nzitonda.
Depuis la fin des élections démocratique de 2015 en septembre 2015, le Burundi fait face à une agression sans précédent des USA, de la Belgique et de la France, qui utilise le Rwanda et ses services secrets pour tenter de renverser le Régime démocratique burundais.Alors que la paix règne à 98% bonne au Burundi, ces dernières semaines ce sont des crimes terroristes qui ont lieu dans un quartier de Bujumbura – Cibitoke, commis par des Rwandais dont des membres des ex-M23 forces négatives en RDC Congo voisine. Dans leur lutte médiatique afin d’émouvoir la Communauté Internationale, le fils d’un militant des droits de l’Homme M. Pierre-Claver Mbonimpa vient d’être abattu. Quelques semaines avant, c’était son beau-frère et au mois d’aout 2015, c’était M. Pierre-Claver Mbonimpa en personne qui avait échappé à la mort. Pour la sécurité burundaise, c’est sans aucun doute la main – le Modus Operandi des services secrets Rwandais – qui ont été déjà incriminé pour des assassinés ciblés en Afrique, notamment en Afrique du Sud et au Kenya … Au Burundi, début aout 2015, 2 officiers de Haut Rang a été assassinés violemment. L’un, le Colonel BIKOMAGU, était le témoin gênant de l’assassinat de Feu Mechior NDADAYE. Il menaçait de faire tomber l’ancien Dictateur Pierre Buyoya qui est aujourd’hui au Rwanda. La justice burundaise enquête sur ces assassinats crapuleux. Mercredi 4 novembre 2015, un citoyen burundais a été tué par ce groupe terroriste.
Les terroristes lui ont arraché le cœur et puis ils l’ont brulé. A des fins médiatiques, tous ces crimes sont alors via les Réseau Sociaux imputés aux Forces de l’ordre du Burundi, afin de noircir son image et acquérir de la haine à l’égard du Régime démocratique en place au Burundi. Au même moment depuis Paris, un journaliste burundais, proche de l’ancien dictateur Pierre Buyoya, a évoqué dans Libération qu’un Génocide était déjà en cours au Burundi. Le souhait de cette entreprise terroriste est qu’une Force Internationale se déploie au Burundi pour le Régime démocratique burundais.
DAM, NY, AGNEWS, ce samedi 7 novembre 2015