SOCIETE CIVILE, SANTE , DEMOGRAPHIE – 2378 cas d’avortements de 2014 à 2017, dans 6 provinces burundaises sur 18.
A Bujumbura, vendredi 2 février 2018, Mme Ntirampeba Espérance, présidente et représentante légale de la Solidarité des femmes burundaises pour la lutte contre le sida et le paludisme au Burundi (SFBLSP), a présenté les résultats de leur enquête menée sur l’état des lieux de l’avortement dans 6 provinces burundaises sur 18 ( Cibitoke, Bubanza, Mairie, Bujumbura, Rumonge et Makamba ).
La SFBLSP témoigne avoir enregistré sur un intervalle de 3 ans ( 2014 à 2017), 2378 cas d’avortements ( dont 657 en Mairie de Bujumbura, la capitale)
Avec cette enquête, SFBLSP et ses partenaires étrangers militent et souhaitent pour que l’avortement devienne une réalité et ne reste pas un tabou.
Au Burundi, la SOCIETE CIVILE demeure un OUTIL permettant de vérifier si la SOCIETE DES BARUNDI est JUSTE, BIEN REGULEE ou HARMONIEUSE. Apparemment, LA POLITIQUE RÉGULANT L’AVORTEMENT existe au Burundi, ayant été mise en place par LES PARLEMENTAIRES BARUNDI, issus de LA CORPORATION DES SAVANTS-CHERCHEURS ET LEGISLATEURS BARUNDI. Ce que dénote cette étude de SFBLSP est que LES PARLEMENTAIRES BARUNDI ont mis en place cette loi -RÉGULANT L’AVORTEMENT – sans réellement se poser la question si elle était nécessaire au BURUNDI ou si c’était un fait social majeur. La pression des partenaires étranger sur LA POLITIQUE DÉMOGRAPHIQUE BURUNDAISE y a été certainement pour quelques choses. LA POLITIQUE RÉGULANT L’AVORTEMENT n’est pas JUSTE ou ne correspond pas à la SOCIÉTÉ BURUNDAISE. Cela est due à la CULTURE. Les Barundi, majoritairement, ne font pas l’Amour pour s’amuser, mais bien pour procréer. Ainsi ils n’avortent pas ! Il s’agit d’une négligence des PARLEMENTAIRES BARUNDI. Cela peut être dangereux !
DAM, NY, AGNEWS, http://burundi-agnews.org , le mardi 6 février 2018