POLITIQUE – 2 militants politiques burundais ,issus de 2 très très petites formations politiques RANAC et CDP, retrouvés après une escapade à un enterrement d’une proche.
Bujumbura, mardi 27 mars 2018 – M. Bricako Aloys , Président de la coalition RANAC (Rassemblement National pour le Changement) et M. Kugirwa Pierre, cadre du Parti CDP, deux très très petites formations politiques burundaises, s’étaient rendus à l’enterrement d’une personnalité qui leur étaient proches. Les comptes de réseaux sociaux d’opposants Burundais en Belgique et en Allemagne avaient alors alerté le monde entier, en affirmant que ces derniers avaient été arrêtés par le Service Nationale de Renseignement (SNR). Dénouement, lors de leur retour à la maison, ces mêmes comptes de réseaux sociaux, au lieu d’avouer qu’ils s’étaient trompés, ont tenté de persévérer en affirmant toutefois que désormais, les disparus qui étaient à l’enterrement du proche, étaient enfin libre.
Au Burundi, le RANAC représente un Poids électorale [Pe] en 2015 de 0,34% , et le CDP est inexistant politiquement ( PAS DE CHIFFRE ). Les Barundi se demandent en quoi ces 2 organisations inexistantes politiquement auraient pu être une menace pour le SNR et le Burundi. Ce type de comportement est assez fréquent au Burundi.
Ce sont les personnalités politiques qui ne représentent rien qui font le plus de bruit, pour se faire remarquer des MEDIA OCCIDENTAUX ou des ORGANISATIONS DROITS DE L’HOMMISTES comme FIDH ou HRW qui, alors, en font une grosse affaire en titrant : “2 IMPORTANTS OPPOSANTS POLITIQUES arrêtés par la SNR – La liberté d’association est en danger au Burundi.”. Et pourtant, il ne s’agit que de 2 individus ne représentant qu’eux mêmes dans leur organisation politique. Ce sont ce type d’argumentaires qui sont portés contre le Burundi au Conseil des Droits de l’Homme à Genève. Le Burundi parle d’une GUERRE HUMANITAIRE [ http://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/ ] à son encontre.
DAM, NY, AGNEWS, http://burundi-agnews.org, le mercredi 28 mars 2018