A Bujumbura, Kigobe, siège de l’Assemblée Nationale du Burundi, au cours de la séance plénière de ce mercredi 12 octobre 2016, les députés burundais ont voté 94 voix POUR, 14 ABSTENTION et 2 CONTRE, concernant le Projet de loi portant Retrait de la République du Burundi du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale, ratifiée en date du 30 août 2003.
Au Burundi constate que la Cour Pénale Internationale CPI est devenue un instrument de pression sur les gouvernements des pays pauvres ou un moyen de les déstabiliser, a déclaré, dans son exposé des motifs, Me Aimée-Laurentine KANYANA, Ministre burundaise de la Justice et Garde des Sceaux.
Le Burundi a subit une Révolution Colorée en 2015 ( Tentative de Changement de Régime ) organisée par les USA, la FRANCE, la BELGIQUE, le RWANDA, et le réseau media-civile-politique-militaire de l’ancien dictateur HIMA burundais Pierre BUYOYA, qui a échoué avec le COUP D’ETAT MILITAIRE du mercredi 13 mai 2015. Depuis, ces ennemis du Burundi mènent jusqu’aujourd’hui une GUERRE HUMANITAIRE contre les BARUNDI. Il s’agit d’essayer avec le DROIT INTERNATIONAL HUMANITAIRE de faire un COUP D’ETAT ( softpower) au Burundi en mettant les dirigeants gênants Barundi à la CPI ( cfr. Gbagbo ). Pour cela, tous les fonctionnaires occidentaux aux Nations Unis ONU ( et dans toutes les institutions annexes : Conseil de Sécurité , HCR, Conseil des Droits de l’Homme à Genève etc. ) sont mobilisés pour faire des rapports ou des discours négatifs ou faux sur le Burundi pour arriver à leur fin.
DAM, NY, AGNEWS, le vendredi 14 octobre 2016