A Bujumbura, ce vendredi 18 novembre 2016, dans l’entourage du procureur générale de la République, l’on pouvait entendre la volonté de poursuivre M. Dimitris Christopoulos, président de la FIDH ( ONG Française ), et M. Florent Geel ( Français, directeur Afrique de FIDH, rédaction du rapport ) pour insulte envers le chef d’Etat des BARUNDI ( ou Burundais), diffamation, et mis en danger d’autrui pouvant entraîner la mort, à la suite de sa nouvelle campagne sur un soit disant risque de génocide au Burundi.
La justice burundaise peut légalement juger, sur son territoire ( par contumace ou non ), individuellement M. Dimitris Christopoulos et M. Florent Geel [ https://bujumburanewsblog.wordpress.com/2016/09/14/la-fidh-a-mene-clandestinement-des-enquetes-au-burundi-reportage-du-journal-la-croix/ ] pour leur propos et leur écrit sur le Burundi.
Voici leurs propos : [ https://www.youtube.com/watch?v=S4BhFH_PTOk ou https://www.youtube.com/watch?v=SBn4Ie44Nwk ] et leur écrit [ https://www.fidh.org/IMG/pdf/rapport_burundi_une_repression_aux_dynamiques_genocidaires.pdf ]. La FIDH a aussi comme membre au Burundi la ligue ITEKA qui est une association de droit burundais.
[ https://www.youtube.com/watch?v=S4BhFH_PTOk ]
Selon le FIDH, l’ethnie TUTSI serait menacée de Génocide au Burundi. Or au Burundi, en tous cas dans la constitution burundaise de mars 2005, il n’existe qu’ un peuple burundais ( les BARUNDI) qui parlent KIRUNDI, et une “ethnie TWA”. Toutefois, il n’existe pas de TWA au Burundi qui parlent KITWA. Il n’existe pas de TUTSI qui parlent KITUTSI au Burundi…
Aucun article dans les Constitutions du Burundi ( de 1962, de 1992, ou de 2005) ne définit – TUTSI, HUTU, ou TWA – comme étant une ethnie Burundaise.
Donc la seule ethnie burundaise existante, selon la Constitution de 2005, est celle du peuple Burundais ( les BARUNDI) , qui parlent KIRUNDI.
[ https://www.youtube.com/watch?v=SBn4Ie44Nwk ]
Le Burundi a été attaqué en 2015 ( Une Révolution de Couleur et un coup d’état militaire manqué le mercredi 13 mai 2015 ) par les USA, la France, la Belgique, le Rwanda, et le réseau ( Media, civil, politique, militaire, et policier ) de l’ancien Dictateur Hima burundais PIERRE BUYOYA. Après l’échec de la Révolution Colorée, ces ennemis du Burundi se sont alors mis d’accord de mener une Guerre Humanitaire contre les Barundi. Cette campagne alarmiste de peur de FIDH, menée par cette ONG FRANCAISE, est à comprendre dans cette perspective … La Révolution de Couleur et la Guerre Humanitaire contre le Burundi ont fait perdre plus d’1 Milliard USD d’investissement aux Barundi. Une compensation financière peut aussi être demandé par les partis lésées ( Commerçants, Etat, citoyen lambda etc. ).
DAM, NY, AGNEWS, le dimanche 20 novembre 2016