A Bujumbura,ce jeudi 26 juin 2014, le Sous-secrétaire général des Nations Unies aux droits de l’homme, M. Ivan Simonovic, a rencontré certains Ministres du Gouvernement burundais à huis clos afin de s’entretenir de la situation des Droits de l’Homme au Burundi. M. Ivan Simonovic est sorti de la rencontre en disant que “le Burundi enregistre des avancées en la matière”. Mais selon ce dernier, il y a toutefois un manque de liberté d’expression, de liberté de réunion, et liberté d’association qui subsiste.
L’Etat du Burundi l’a rassuré vis à vis de ces divers manquements qu’il a cité. Il est faux de dire qu’au Burundi, il y a des manquements concernant les libertés d’expression, de réunion ou d’association. Les divers rapports des ministères de l’intérieurs , de la justice, et des Droits de l’homme montrent chiffres ( et faits) à l’appui le contraire. Il suffit de voir le nombre de média présents au Burundi, le nombre de journalistes en prison ( il y en a zéro) , et le nombre de réunions des divers partis politiques burundais qui ont lieu chaque semaines ou chaque mois dans chaque province du pays. Il y a une vie politique existante prouvant un fonctionnement concrêt du multipartisme au Burundi.
L’Etat du Burundi souhaiterait, lorsque l’on parle des Droits de l’Homme, parler avec des chiffres et des faits et non des déclarations ni vérifiés ni neutres provenant de certaines organisations ( de la société civile burundaise) dont les leaders sont les enfants ou l’élite de l’ancienne Dictature des Bahima burundais ( Micombero, Bagaza, Buyoya), qui a fait plus de 4,5 Millions de victimes parmi les Bahutu Barundi en 40 ans de règne : le fameux génocide-régicide contre les Hutu du Burundi. Les responsables de ce crime imprescriptible n’ont pas encore été punis de leurs actes au Burundi. Ces associations des enfants de la Dictature des Bahima burundais ont toujours la nostalgie du régime passé. Ils ne croient pas en la démocratie, ni en l’Etat de Droit…
DAM, NY, AGNEWS, le 27 juin 2014