A Bujumbura, mardi 20 octobre 2015, le Commissaire de Police Principale, Alain-Guillaume Bunyoni, Ministre de la Sécurité Publique, a informé le Parlement du Burundi que «La sécurité règne à 98% dans tout le pays» et qu’il n’y a pas de bandes armées au Burundi.
Lors des questions orales devant les députés [ http://assemblee.bi/Questions-orales-avec-debat-a-l,1015 ], le Ministre Bunyoni, avec à ses côtés M. Pascal Brandagiye Ministre burundais de l’intérieur, a donné ce chiffre bilan – 98% – provenant des rapports des gouverneurs des 18 provinces du Burundi. Les 2% d’insécurité concernent 1 quartier ( le numéro 3 ) de la zone Ngagara et une partie de la zone Cibitoke. Le Burundi compte 3002 collines ou quartiers.
Le Burundi a été victime pendant sa période électorale démocratique 2015, d’ une Révolution de Couleur ou une tentative de renversement de régime, dictée par des enjeux géopolitiques globaux ( impliquant des multinationales ) des USA, de la France et de la Belgique. Le Rwanda semble avoir jouer le rôle de base arrière des collaborateurs locaux burundais à ce plan de déstabilisation. Le bilan est de centaines de morts et de plusieurs dizaines de milliers de réfugiés ( Cfr. https://www.youtube.com/watch?v=dDFaM1jvd3I et http://burundi-agnews.org/justice/?p=20777 ).
DAM, NY, AGNEWS, le dimanche 25 octobre 2015