[Gun and bomb attacks by Islamist insurgents in the northern Nigerian city of Kano last week killed at least 178 people, a hospital doctor said on Sunday, underscoring the challenge President Goodluck Jonathan faces to prevent his country sliding further into chaos.]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BURUNDI :

 

Burundi : le parti UPRONA propose la mise en place d’une Commission Vérité et Réconciliation

dimanche 22 janvier 2012/Xinhua

 

BUJUMBURA, 22 janvier (Xinhua) — L’Union pour le progrès national (UPRONA), deux parti au pouvoir après le parti CNDD-FDD, propose la mise en place d’une Commission Vérité et Réconciliation, qui doit se composer de Burundais et d’étrangers pour qu’elle soit crédible ainsi que l’adaptation de la période d’investigation à la nouvelle donne politique.

 

Pour ce parti, le constat est que les violations graves des droits de l’homme ne se sont pas arrêtées avec la date du 4 décembre 2008, date à laquelle la Commission devrait arrêter ses investigations.

 

Il apparaît aussi que ces faits remontent environ à la création des premiers partis politiques en 1958.

 

“Le parti propose par conséquent que la Commission soit concernée par la période allant de 1958, année de création des partis politiques, à la date du décret de mise en place de la Commission”, a indiqué l’UPRONA. L’UPRONA relève quelques préoccupations relatives au contenu du rapport du comité technique chargé de préparer la mise en place des mécanismes de justice transitionnelle, notamment en ce qui concerne les textes de référence consensuels sur lesquels doivent être fondés ces mécanismes.

 

Pour l’UPRONA, ces documents consensuels sont au nombre de cinq. Il s’agit de l’Accord d’Arusha pour la Paix et la Réconciliation d’ août 2000 ; du rapport des consultations nationales sur la mise en place des mécanismes de justice de transition au Burundi d’avril 2010 ; de la Résolution 1606 du Conseil de Sécurité de l’ONU du 20 juin 2005 ; de l’Accord cadre portant création du Comité de pilotage tripartite en charge des Consultations nationales et du Mémorandum d’entente de la délégation gouvernementale chargée de négocier avec l’ONU la mise en place de la Commission Vérité et Réconciliation et le Tribunal Spécial, adopté par le gouvernement du Burundi en date du 2 février 2006.

 

“Le parti UPRONA insiste sur la référence à ces documents, car tout argument en faveur d’un amendement ou du maintien de tel article contenu dans l’avant projet de loi doit se baser sur le contenu de ces documents importants et issus d’un consensus. Toute autre démarche relèverait de l’arbitraire et des voies de fait et serait par conséquent inacceptable pour l’UPRONA”, souligne Charles Nditije, député et un des porte-parole de l’UPRONA.

 

 

 

Burundi : les formations politiques invitées à se conformer à la nouvelle loi sur les partis

Dimanche 22 janvier 2012 /Xinhua

 

BUJUMBURA (Xinhua) – Le ministre burundais de l’ Intérieur Edouard Nduwimana a demandé samedi aux partis politiques agréés à se conformer aux dispositions de la loi sur les partis politiques.

 

La loi du 10 septembre 2011 stipule que tous les partis politiques devront se conformer à la présente loi, dans un délai n’excédant pas six mois à  dater de la promulgation de la présente loi. 

 

Le ministre Nduwimana rappelle aux dirigeants des formations politiques que le délai de conformité à cette loi court jusqu’au 10 mars prochain.

 

A cet effet, poursuit la correspondance du ministre, “il vous est demandé de déposer avant cette date, la liste actualisée des 20 membres ressortissants de chaque province”.

 

La correspondance a insisté sur l’importance de garantir le caractère national et d’être formé dans un esprit d’unité national en tenant compte des diverses composantes ethniques et du genre de la population burundaise.

 

Selon la même source, aucun organe dirigeant d’un parti politique, ne peut comprendre, au niveau national, plus de trois quarts des membres provenant d’une même ethnie, tandis que la représentation du genre doit être assurée à 30% au minimum.

 

 

 

 

 

 

RWANDA :

 

Rwanda: Why Kagame Is On Forbes’ Powerful Personalities List

James Tasamba/The New Times/21 January 2012

 

RECENTLY, President Paul Kagame was listed among the 2011 personalities by Forbes Africa Magazine and among the 70 most powerful people on the planet.

 

According to the December 2011-January 2012 edition, Kagame is named along 20 other most influential personalities, including noble laureates, activists, politicians and economists.

 

The Rwandan President was credited for his contribution to the country’s transformation following the 1994 Genocide against Tutsi, turning it into one of the fastest growing economies in Africa.

 

The recognition came hot on the heels of the Lifetime Achievement Award Kagame received from the Ugandan capital, Kampala, late last year, for inspiring Africa’s young generation.

 

An individual doesn’t require personal wealth or fame to be influential.

 

That the Forbes has listed President Kagame among the most influential people is not surprising.

 

The changes that have taken place over the last seventeen years cannot be underestimated or sneered at. It is not without reason that Rwanda is ranked the least corrupt country in the region, fourth least corrupt in Africa and 49th in the world. There is a smile everywhere at the State’s endeavor to provide public goods. Poverty has reduced, education and health services are equitably provided. Just a simple example: Between 1962 and 1994, Rwandan universities had graduated a total of 1,926 students only.

 

Today, there are about 30 institutions of higher learning. Public tertiary institutions currently enroll more than 30,000 students in undergraduate, graduate, and certificate and diploma programmes. Private institutions equally enroll more than 30, 000 students. And it keeps growing; with non-traditional students continuing to enroll in part-time evening and weekend courses.

 

While in 1994, there were 820,232 pupils in primary schools, the number rose to 2,341,146 in 2011. Primary schools increased from 1,283 in 1994 to 2,543 in 2011.

 

In addition, Rwanda has the most transparent programme that sends students overseas on postgraduate study and specialist courses. Every year, according to statistics, the country sends an average of 300 students, to study IT and engineering, to India. The government sends about 600 students to graduate schools every year on taxpayers’ money.

 

To sustain that number, on a continent where state programmes for international study collapsed in most countries years ago or are taken up by children of regime buddies (according to Columnist Charles Onyango Obbo of the East African), makes Rwanda tick.

 

Apart from South Africa’s the Truth and Reconciliation Commission, which was chaired by Bishop Desmond Tutu, Rwanda offered the National Unity and Reconciliation Commission (NURC), which has since delivered reconciliation among Rwandans and continues to share experiences with largely post-conflict states.

 

The country has one of Africa’s most ambitious IT programmes. The government has distributed hundreds of laptops to pupils under the One Laptop per Child programme.

 

Rwanda has risen from ethnic bondage to become a united and inspiring nation.

 

This should set an example for others in positions of leadership to perform remarkably well and work towards helping their people overcome poverty.

 

Forbes cites: “Kagame is also driving the East African Community initiative, a renowned Publication New statesman named him as one of the 50 people in the world who matter.”

 

This, therefore, celebrates more than just good governance. It reflects leadership ability to rally others behind a compelling vision.

 

Not only is he working for a better Rwanda but the President has also helped promote peace, good governance and home-grown solutions in other parts of Africa.

 

Kagame has repeatedly been on international forums pushing for self-reliance and acceleration of the MDGs.

 

These accomplishments and many more make President Kagame one of the most influential personalities and reformists the world has seen.

 

 

 

 

 

 

RDC CONGO:

 

RDC: la police empêche l’opposant Tshisekedi de sortir de chez lui

(AFP) /22012012

 

KINSHASA — La police congolaise a empêché dimanche l’opposant Etienne Tshisekedi de quitter son domicile à Kinshasa, a-t-on appris dans l’entourage de celui qui s’est autoproclamé “président élu” de la RD Congo après avoir rejeté la réélection du chef de l’Etat sortant Joseph Kabila.

 

M. Tshisekedi et son épouse ont quitté en voiture leur domicile en milieu d’après-midi pour “une visite familiale, une simple promenade” mais ils ont été “stoppés” peu après par la police qui a dit qu’il n’y avait “pas de passage sauf autorisation de la hiérarchie”, a déclaré à l’AFP son directeur de cabinet Albert Moleka.

 

M. Tshisekedi “est en résidence surveillée. C’est très grave”, a dénoncé M. Moleka qui a lui-même été empêché par la police d’accéder à la résidence de l’opposant.

 

Vendredi, la police avait aussi interdit l’accès aux abords de la résidence à des journalistes qui souhaitaient s’y rendre pour assister à une conférence de presse de M. Tshisekedi.

 

M. Moleka a dénoncé le comportement de policiers appartenant à la Légion nationale d’intervention (ex-Police d’intervention rapide), une unité “qui n’a pas un commandement limpide” et dont des éléments sont soupçonnés d’être en fait des soldats de la Garde républicaine (ex-garde présidentielle) portant l’uniforme de policiers et n’obéissant pas au chef de la police.

 

M. Tshisekedi s’était autoproclamé “président élu” après avoir rejeté les résultats de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011 -couplée aux législatives- qui le classait deuxième derrière le président Kabila.

 

Vendredi, il a annoncé qu’il prenait “sa fonction active” le jour-même et formerait un gouvernement “la semaine prochaine”. Il a également considéré “comme nulles” les élections législatives, dont les résultats ne sont toujours pas connus.

 

L’opposant a dénoncé de nombreuses irrégularités lors des deux scrutins, et des missions d’observations nationales et internationales de même que l’église catholique congolaise les ont également constatées.

 

 

 

 

 

 

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Lire suite du document : bur23012012.doc

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