La ministre rwandaise des Affaire étrangères est arrivée lundi à Kinshasa pour évoquer avec son homologue congolais la mutinerie en cours dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où les mutins ont, selon le gouvernement congolais, reçu le renfort de Rwandais recrutés au Rwanda.

 
BURUNDI :
 
Burundi : Hausse de la production sucrière
Meyya Furaha / 18/06/2012 10:32
Déjà au terme d’une campagne 2011 assez encourageante avec des résultats satisfaisants, le Burundi annonce une fois de plus une production du sucre croissante pour 2012. En effet selon la radio nationale burundaise, la Société Sucrière du Moso (SOSUMO) va enregistrer pour la fin de l’année une production en hausse de 4,6% par rapport à la campagne 2011. Ainsi la production totale de la société s’élèverait donc à 21.500 tonnes. Une annonce qui pourrait redonner un espoir aux industriels burundais en raison de la crise que traverse actuellement le secteur du café. Cette hausse de la production sucrière, la SOSUMO l’attribue entre autres, à la bonne gestion et à la politique adoptée. A cet effet il faut noter qu’il y a deux ans, les décideurs dans le souci d’éviter une crise à la société avaient opté à la renonciation de certains avantages afin de relever d’abord le niveau de production. La SOSUMO avait ainsi par la même occasion procédé à la modernisation  de son outil de travail. Stratégie gagnante, puisque depuis l’année dernière la croissance est au rendez vous avec de bonnes perspectives chaque année. En outre la campagne de cette année coïncide avec le 25ème anniversaire de la SOSUMO, il s’agira donc de faire la récolte et l’usinage des cannes à sucre et de commercialiser le sucre produit.
   En termes de contribution économique, avec la nouvelle croissance attendue pour la fin de l’année, la SOSUMO embauchera plus de 5.500 personnes. De quoi diminuer le taux de chômage et renforcer les capacités de production de la société sucrière.
 
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Burundi: 156,2 Millions USD collectés entre Janvier et Mai 2012 (OBR)
Dam, NY, AGnews,Lundi 18 juin 2012 
– L'Office Burundais des Recettes (OBR) a ramassé pour le mois de Mai 2012   36,7 Mds (Milliards) BIF (ou Franc Bu)  soit  près de 26,18  M (Millions) USD. L'OBR a collecté quelques 219 Mds BIF ( soit  156,2 M USD )  pour les 5 premiers mois de l'année 2012.    
L'Office Burundais des Recettes (OBR) a pour mission de sécuriser les recettes nationales du Burundi. Cela contribue à la relance de l'économie nationale et l'amélioration du climat des affaires dans le pays.
L'OBR a collecté quelques 219 Mds BIF ( soit  156,2 M USD )  pour les 5 premiers mois de l'année 2012,  contre 207 Mds BIF ( soit 147,6 M USD )  en 2011 pour la même période.  Il s'agit d'une augmentation cumulative d'année en année depuis 2010  de 6% en termes nominaux pour les 5 premiers mois ( de Janvier à Mai ). 
L’OBR est une institution burundaise créée en 2010 pour inaugurer une ère d’administration fiscale moderne et professionnelle au Burundi. L'OBR  vient de lancer  le 2ème Plan Stratégique axé sur les 5 prochaines années (2012-2016).  Il énonce les objectifs de l'OBR et établit des stratégies pour les atteindre. 
 
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Burundi : 62207 élèves ont passé le test pour le 2ème cycle du secondaire
Dam, NY, AGnews, Vendredi 15 juin 2012  
– Les élèves de 10 ème année à l’école secondaire ont passé le test national  édition 2011-2012 pour pouvoir accèder au 2 ème cycles du secondaire. 
Alors que quelques jours auparavant  le Ministre de l’enseignement , M. Sévérin Buzingo, réalisait  le tirage officiel des examens,  cette semaine, 62207 élèves Barundi provenant de 840 écoles  ont passé le test de 10ème année  dans  691 centres de passation. 
Le test des élèves de dixième année  s'est très bien déroulé sur tout le territoire du pays. La réussite de ce test  va permettra aux élèves d'accèder au 2 ème cycle de l’enseignement secondaire.
Lors de ce test, il y a  quelques règles strictes à suivre par les élèves candidats  comme par exemple il faut répondre sur le questionnaire et  toute rature annule la réponse. De plus, il n’y a pas de nom sur le questionnaire, l’identification se fait par un numéro d’inscription et le code du centre de passation et le code de l’école.
Selon l'entourage de M. Ildefonse KARITUNZE, Président de la Commission chargée de l’organisation de ce test de dixième année,  l'édition  2011 – 2012  semble être une réussite.
A partir de la rentrée prochaine, les élèves qui auront réussi  accèderont  au 2ème cycle des humanités générales.  Au Ministère, désormais on se concentre sur  la préparation de l’examen d’Etat qui permet au Burundi aux élèves du secondaire d'accèder à l’enseignement supérieur.
 
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RWANDA :
 
 
Génocide: le Rwanda clôt officiellement ses juridictions populaires "gacaca"
(AFP) – Il y a 9 heures   /  KIGALI — Le Rwanda a officiellement mis un terme lundi aux "gacaca", juridictions populaires créées en 2001 pour juger la plus grande majorité des auteurs présumés du génocide de 1994 dans ce pays.
La date d'"aujourd'hui ne marque pas seulement la clôture des tribunaux, mais reconnaît également la valeur, sur le long terme, du processus," a déclaré le président rwandais, Paul Kagame, à l'occasion de la cérémonie de clôture à Kigali.
"C'est la célébration du rétablissement de l'unité et de la confiance parmi les Rwandais, et la réaffirmation de notre capacité à trouver nos propres réponses à des questions apparemment insolubles," a-t-il ajouté, cité dans un communiqué de la présidence rwandaise.
La fermeture de ces juridictions controversées, dont des organisations de défense des droits de l'Homme ont dans le passé déploré qu'elles ne respectaient pas les normes judiciaires internationales, avait initialement été programmée pour 2007.
Mais cette fin annoncée avait été plusieurs fois reportée, en raison de la complexité de certaines affaires, de nombreux recours et de la découverte de nouveaux faits.
Quelque 12.100 gacaca (prononcer "gatchatcha"), inspirées des anciennes assemblées pendant lesquelles les sages du village réglaient les différends assis sur la pelouse, ont au total jugé près de deux millions de personnes, pour un taux de condamnation de 65%, selon des données du gouvernement rwandais.
Les premiers procès – en présence de juges non professionnels, élus dans des collectivités locales – avaient débuté en mars 2005.
Le système reposait essentiellement sur les aveux de coupables qui, lorsqu'ils étaient complets, permettaient de reconstituer le déroulement des tueries. De nombreuses fosses communes avaient aussi été découvertes grâce aux aveux des suspects, contribuant ainsi au travail de deuil.
Les gacaca avaient été créées en vue de contribuer à la réconciliation après le génocide. Pour le gouvernement rwandais, ces juridictions étaient la seule façon de juger le grand nombre de personnes impliquées dans ces massacres.
Perpétré entre avril et juillet 1994, le génocide au Rwanda a fait au moins 800.000 morts, principalement parmi la communauté des Tutsis, selon les Nations unies.
"Nous avions trois choix", a poursuivi lundi le président rwandais.
"Le premier, le plus dangereux, était le chemin de la revanche, et le deuxième celui d'une amnistie générale," a-t-il dit. "Mais nous avons choisi la troisième voie, la plus difficile, celle consistant à traiter la question une fois pour toute et de rétablir l'unité et l'intégrité de la nation."
Parmi les critiques des gacaca, Human Rights Watch avait estimé l'an dernier que le bilan de ces juridictions populaires était "mitigé" et entaché de "graves erreurs judiciaires".
L'organisation de défense des droits de l'Homme avait reconnu que le système avait "obtenu certaines réussites", comme "l'organisation de procès rapides avec la participation populaire, une réduction de la population carcérale et une meilleure compréhension de ce qui s'est passé en 1994".
Mais HRW avait aussi dénoncé "un large éventail de violations (des principes d'un) procès équitable", comme "des restrictions sur la capacité de l'accusé à établir une défense efficace", de "fausses accusations, dont certaines fondées sur la volonté du gouvernement rwandais de faire taire les critiques" ou "l'intimidation de témoins à décharge par des juges ou par des autorités".
Lundi, M. Kagame a reconnu que le système avait eu "ses imperfections". Les gacaca ont "été critiquées à l'intérieur et à l'extérieur du Rwanda, mais ceux qui ont émis ces critiques n'ont offert aucune alternative viable qui aurait pu donner les résultats dont nous avions besoin", a-t-il estimé.
Avant de comparer l'efficacité des gacaca aux travaux du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), dont le siège est à Arusha en Tanzanie, qui n'a, rappelle la présidence rwandaise, jugé que 60 affaires, des procès dont le coût a été "très élevé".
 
 
 
Le Rwanda rétrocède à la RDC la moitié des recettes touristiques générées par les gorilles congolais 
Le Rwanda rétrocède à la RDC la moitié des recettes générées par les gorilles de montagne congolais qui se sont réfugiés de l’autre côté de la frontière depuis 2005. C’est le Programme international de conservation des gorilles qui l’a révélé le week-end dernier à l’occasion de la cérémonie de l’attribution des noms à des dix-neuf bébés gorilles à Kinigi au Rwanda.
Selon le docteur Augustin Kanyunyi, directeur intérimaire du Programme international de conservation des Gorilles, une famille de vingt-trois gorilles a migré vers le Rwanda dans le parc national des volcans depuis 2005.
« Nous avons eu un arrangement de façon à ce que le revenu que génère cette famille grâce au tourisme soit partagé à parts égales entre la RDC et le Rwanda », a-t-il déclaré précisant que chaque touriste paie 500 dollars américains pour visiter une famille de gorilles. La même source affirme que ces gorilles sont visités tous les jours. Mais le montant global de la somme rétrocédée n’a pas été révélé.
Selon un recensement effectué en 2010 conjointement par la RDC, l’Ouganda et le Rwanda dans le massif des Virunga, la population de gorilles y serait de 480 individus (contre 380 lors du précédent recensement en 2003). A ce groupe s’ajoutent environ 300 gorilles des montagnes de la forêt de Bwindi.
Mais depuis le début des affrontements entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et le groupe rebelle du M23 dans le secteur de Jomba, en territoire de Rutshuru (Nord-Kivu), les gorilles de montagne du Parc national des Virunga sont exposés aux tirs croisés des belligérants.
Selon le directeur de ce parc, Emmanuel De Merode, ce sont deux cents gorilles qui sont ainsi menacés. Cette situation aurait suspendu le tourisme qui avait déjà commencé à se développer dans le parc.
Kinshasa, 18/06/2012 (Okapi/MCN, via mediacongo.net)
 
 
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RDC CONGO:
 
RDC/mutinerie: la ministre rwandaise des Affaires étrangères en visite à Kinshasa
KINSHASA – La ministre rwandaise des Affaire étrangères est arrivée lundi à Kinshasa pour évoquer avec son homologue congolais la mutinerie en cours dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où les mutins ont, selon le gouvernement congolais, reçu le renfort de Rwandais recrutés au Rwanda.
La ministre rwandaise Louise Mushikiwabo rencontrait depuis le milieu d'après-midi son homologue Raymond Tshibanga, a constaté l'AFP.
La chef de la diplomatie rwandaise est venue naturellement pour parler (…) sur la question de l'est de la RDC, a déclaré à l'AFP le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende.
Les relations entre les deux voisins se sont tendues après les accusations de Kinshasa sur la présence dans la province du Nord-Kivu (est) de 200 à 300 hommes, dont des Rwandais, recrutés sur le territoire du Rwanda d'où ils sont partis renforcer les mutins ex-rebelles congolais qui s'affrontent depuis un mois aux Forces armées de la RDC (FARDC).
Lambert Mende avait dénoncé le 9 juin la passivité ou plus des autorités rwandaises dans cette affaire.
Mme Mushikiwabo avait réagi à ces déclarations en évoquant un gros mensonge, et disant comprendre que le Rwanda soit utilisé comme bouc émissaire par le gouvernement congolais dans une tentative de détourner l'attention de ses problèmes domestiques.
M. Tshibanga a effectué ces derniers jours une mini tournée à Kampala, Dar-Es-Salaam, Bujumbura et Luanda pour évoquer avec les présidents ougandais, tanzanien, burundais et angolais la situation sécuritaire au Nord-Kivu et l'implication de plus en plus avérée de l'un des pays voisins dans la détérioration de cette situation, selon un communiqué de ses services, dans lequel le Rwanda n'est jamais nommément cité.
Le présence de présumés Rwandais parmi les mutins a été révélée après la fuite d'un rapport interne de la Mission de l'ONU en RDC (Monusco). L'information a été confirmée en détail dans un rapport de l'ONG Human Rights Watch (HRW).
Selon l'ONG, le général en fuite Bosco Ntaganda, accusé par Kinshasa d'être l'instigateur de la mutinerie, a reçu le soutien de responsables militaires rwandais qui l'ont approvisionné en armes et munitions et lui ont fourni les recrues venues du Rwanda.
Dans une déclaration vendredi où le Rwanda n'est pas cité, le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé à une enquête complète à la suite de ces rapports crédibles sur le soutien extérieur apporté aux groupes armés dans cette province.
Les mutins, qui se revendiquent du Mouvement du 23 mars (M23) officiellement dirigé par le colonel Sultani Makenga, sont des ex-membres de la rébellion tutsi-congolaise du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), intégrés dans les FARDC dans le cadre d'un accord de paix avec Kinshasa signé le 23 mars 2009, dont ils réclament la pleine application.
Ils ont commencé à déserter début avril et sont regroupés depuis mi-mai sur plusieurs collines dans une petite bande du parc des Virunga, frontalière avec l'Ouganda et le Rwanda, où l'armée ne parvient pas à les déloger.
Le général Ntaganda est recherché par la Cour pénale internationale pour enrôlement d'enfants quand il était dans une autre milice au début des années 2000. Il était le chef d'état-major du CNDP et Makenga son adjoint dans cette rébellion à l'époque soutenue par le Rwanda, selon des rapports de l'ONU.
(©AFP / 18 juin 2012 21h35) 
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UGANDA :
 
Uganda, South Sudan agree on highway patrols    
Uganda and South Sudan over the weekend removed security checkpoints on the Kampala-Juba highway as part of the measures to ensure free movement of people and goods between the two countries.
The two countries agreed on joint police patrols on the highways to ensure security for the traders and other travellers.
This followed a visit by Uganda’s Police boss, Lt. Gen. Kale Kayihura, to Juba on Friday where he held a series of meetings with his counterpart, Gen. Acuil Tito Madut, as well as South Sudan President Salva Kiir.
Traders, particularly truck drivers from Uganda and Kenya, last week staged a strike during which they blocked the road for three days until Kayihura met them.
The traders accused Sudanese officials of extortion and unjustified arrests.
While meeting Kayihura, President Kiir reportedly reiterated his government’s commitment to resolve the matter so as to facilitate free movement and trade between the two countries.
Madut and Kayihura later travelled to Nimule and Elegu border posts and dismantled illegal check points on the highway.
They also addressed a rally at Elegu in Uganda and Nimule in South Sudan. Madut said he had dismantled illegal check points at the Aru and Magwi junctions, Ashwa Bridge, Nimule Payam traffic offices and the Nimule entrance.
He added that an official at the Aru junction, notorious for extorting money from traders, had been arrested.
Madut acknowledged that there were incidents in which Ugandans had been mistreated in South Sudan, but said it was not planned, adding that they were the actions of thugs.
Kayihura also disbanded the Police check points at Kafu bridge and Karuma, saying they were an unnecessary inconvenience.
Madut said traders would not be asked to pay exit visa fees because they are illegal.
He argued that some of the incidents committed against Ugandans were masterminded by external forces aimed at driving a rift between the two countries.
The two Police chiefs named leaders of the joint monitoring teams.
The South Sudan team is headed by Col. Azuma Mangar Chep reinforced by Col. Makuac Chawul, who will be in charge of highway patrol.
The Ugandan team is led by police Chief Asuman Mugenyi assisted by Stephen Odongkara, the officer in charge of highway patrol.
The two teams will monitor the Nimule-Juba area in South Sudan and the Gulu- Nimule sector in Uganda.
http://www.newvision.co.ug/news/632101-uganda-south-sudan-agree-on-highway-patrols.html    Publish Date: Jun 18, 2012
 
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TANZANIA:
 
Uranex Invites Bids for Tanzania Coal Project Stake
By Robb M. Stewart / June 19, 2012, 4:56 PM
http://blogs.wsj.com/dealjournalaustralia/2012/06/19/uranex-invites-bids-for-tanzania-coal-project-stake/
Australia’s Uranex is seeking bids from potential partners to develop a coal project in Tanzania, building on separate talks underway with companies on the joint development of its key Mkuji uranium project in the African country, a person familiar with the matter told Deal Journal Australia.
Melbourne-based Uranex is keen to focus on uranium as sentiment recovers following last year’s earthquake in Japan, which crippled the Fukushima Daiichi reactor complex and prompted several governments including Germany to rethink plans to use more nuclear power.
“While they have for some time fielded informal offers on the Songea coal assets, they are now looking to formalize this process and have in recent weeks invited companies to present offers to work with them,” said the person, declining to be named because negotiations are confidential and incomplete.
The board’s preference is to form a joint venture, and talks have been held with an Indian thermal coal buyer, the person added.
The Songea exploration site covers some 2,700 square kilometers located 140 kilometers northwest of Uranex’s Mkuji project in southwest Tanzania. A maiden drilling program began at the project in October.
Sichuan Hongda last year signed a US$3 billion deal with the Tanzanian government to mine the nearby Mchuchuma coal field through a joint venture that will be 80% owned by the Chinese company. That venture, which represents a massive investment in the country, will promote the development of key infrastructure including rail, roads and power.
Uranex’s flagship project is Mkuji, which covers roughly 5,000 square kilometers. The company stepped up its exploration this year, targeting higher-grade anomalies and evaluating the potential of the northern and southern portions of the project area, which remains largely unexplored.
Work so far has set an initial mineral resource estimate for the Likuyu North prospect at 6.1 million pounds at 237 parts per million of U3O8 uranium.
Uranex in mid-February said it had received unsolicited approaches from unnamed North American and Asian nuclear power and energy companies, including from China, regarding the joint development of Mkuji.
The person said talks with these companies continue “positively,” as do negotiations to sell Uranex’s non-core uranium assets in Tanzania and Western Australia.
In April, Uranex said it had been approached by unnamed suitors interested in its Manyoni deposit in central Tanzania and Thatcher Soak deposit northeast of Australia’s Laverton, and that the result of a sale process was expected to be completed in the second half of the year.
Matthew Gauci in April stepped down as managing director of Uranex, which has a market capitalization of 27.5 million Australian dollars (US$27.9 million).
The company last month suspended the search for a replacement, naming former project development manager Rodney Chittenden to the post on an interim basis.
Last month, Uranex also named Alastair Clayton as an executive director. Mr. Clayton had joined earlier in the year as a non-executive director from uranium explorer Extract Resources Ltd., which has since been bought by China Guangdong Nuclear Power Corp. and China-Africa Development Fund.
 
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East Africa: Kenya, Uganda, Tanzania Uniform Visa Fees to Boost Revenue
BY DAVID MUWANGA, 17 JUNE 2012 http://allafrica.com/stories/201206190004.html
Arusha, Tanzania — Tanzania, Uganda and Kenya have harmonised tourist visa fees with the aim of boosting the region's revenue and marketing the region as a single destination, a Tanzanian official has said.
"Each of the three countries is now charging $50. However this is not the end since we are still negotiating on other measures aimed at marketing the region as a single destination," said the deputy minister of natural resources and tourism Lazaro Nyalandu.
"It is possible that we shall have a single regional tourist visa since we have managed to develop a single customs union thus far. As we continue to implement the regional common market protocol," he said at the opening of a three-day Karibu Travel and Tourism Fair held at the Magereza open grounds in Arusha, Tanzania.
The fair that attracted over 250 exhibitors from Uganda, Rwanda, Kenya, Tanzania, DR Congo among others was jointly organized by the Tanzania Association of Tour Operators (TATO), the Tanzania Tourist Board (TTB), and the Ministry of Natural Resources and Tourism (MNRT).
The deputy minister said that Tanzania emerged as a winner at a similar event, popularly known as INDABA, held in Durban, South Africa, from May 12 to 15, 2012.
"Tanzania received an award for the best exhibition as other nations in the region recognize that Tanzania's tourist destinations continue to dazzle and attract visitors from all continents," he said.
Hanspaul Automechs Limited managing g director Satbir Hanspaul told East African Business Week that introduction of a single visa would make East Africa a cheaper destination compared to other regions. Originally created to promote Tanzania, it's now a regional event that also features products and delegates from Kenya, Uganda and Rwanda.
Karibu's major function is one of a relationship broker who targets, attracts and matches the needs of buyers and suppliers. He said that with the new charges, the Tanzania government targets to attract two million tourists in the next five year's compared to the 950,000 who visited the country last year.
"However we should also stop taking tourism to mean only foreign visitors but we are also encouraging local people to start visiting the tourist sites," he said.
Chairman of the Association of Uganda Tour Operators Bonafice Byamukama said although negotiations for single visa continue the common ground is that the region should be marketed as a single destination.
 
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KENYA:
 
Kenya: Terrorism Affecting Kenya's Economy
BY HUMPHREY LILOBA, 17 JUNE 2012  /    http://allafrica.com/stories/201206190006.html
Nairobi, Kenya — The Kenyan economy is under serious threat following a sustained spate of terrorist related explosions, the most recent of which occurred in town weeks ago in the heart of the Nairobi Central Business District (NCBD).
The situation could deteriorate further as intelligence allegedly from the National Security Intelligence Service (NSIS) blacklisted a number of high traffic shopping malls, bus stations and entertainment spots.
A number of foreign diplomatic missions with representation in Nairobi have given travel advisories to their nationals in what could have far reaching implications to the economy whose growth has since been revised from the earlier 5 % to 4.5 % this financial year.
Last month, Planning, National Development and Vision 2030 Minister Wycliffe Oparanya announced the expected economic growth would slow down from the 5% project in January this year to between four and 4.5 % attributing the situation to volatile oil prices and an unsteady Kenyan shilling.
"Kenyans will not be cowed into submission to terrorist activities keen on interfering with their daily business. Our economy has been a major casualty of these terrorist activities but we will fight them to the last man," declared Kenyan Prime Minister Raila Odinga at the scene of the Moi Avenue explosion which claimed one and hundreds of injuries.
Most scaring is a statement circulated from Police Headquarters last week pointing to intelligence reports that the Al-Shabaab was planning to bring down a number of skyscrapers in Nairobi in the next couple of weeks.
In less than three months, Kenya has experienced no less than six blasts associated with terrorist activities. The most affected areas have been Nairobi which has suffered three of these blasts, Mombasa which has experienced two major ones and border towns of Garissa, Wajir and Moyale.
The economic shocks following the tension in the country have reverberated through the stock market which has registered a decline in activity over the last couple of weeks. The Kenyan shilling has not been spared either, falling to a low of Sh87.75 at close of business on Thursday last week. This is from a high of Sh85 against the US dollar three weeks ago. Investors prompted by the sharp fall in the local currency have resorted to panic buying of dollars. The Kenyan shilling has depreciated more than 2.3 % in the last week alone.
Ironically, Finance Minister Robinson Njeru Githae sought to allay fears of the shilling going back to the infamous December lows of 115 against the dollar saying that the fall was due to commercial banks paying dividends to foreign invests, a hypothesis that was not bought by economic analysts.
Most traders in Nairobi remained apprehensive some even fearing to open their shops following the Monday attack.
"We are no longer sure of our safety. You cannot differentiate a customer from a terrorist. Most of us are servicing loans we took to start these small businesses, but in one second, they are shelled to nothing," said Ms Mary Mbogo, a beautician whose stall was among those brought down by the blast.
Whereas Nairobi is Kenya's both political and economic capital, Mombasa is the country's tourism hub and accounts to over 80 % of the East African nation's tourism activities.
Tourist arrivals have dwindled since late last year when the Kenyan coast was labeled 'unsafe' following a round of kidnappings by suspected Somali Al-shabaab militiamen targeting tourists. At least two tourists were killed while another two were rescued by Kenyan forces.
The threat of losing tourism revenues and the general sense of insecurity among Kenyans prompted the Kenyan government to declare war against the Al-shabaab, a situation that has seen Kenyan troops enter deep into Somalia to battle the ragtag militia. The war is currently in its sixth month.
Following this incursion, Al-shabaab top organs have not minced words on their intentions to hit Kenyan targets and kill civilians in retaliation to what they call 'illegal occupation' of their territory by Kenyan forces. As a result, grenade and bomb explosions have been waged against unsuspecting civilians in all manner of locations.
In 2011, Kenya realized US$ 1 billion in tourism revenue.
The figure is however expected to shrink drastically in the wake of reduced arrivals and the apprehension over the general elections scheduled for March next year. Most visitors fear a repeat of the 2007/8 post-election violence prompted by disputed election results.
It remains to be seen how much the impact of terrorism will affect the Kenyan economy but security analysts says the battle is far from over.
 
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ANGOLA:
 
Angola's oil exports set to rise 14.5 pct in Aug
Mon Jun 18, 2012 LONDON (Reuters) 
– Angola is set to export 1.81 million barrels of crude oil per day (bpd) in August, up about 14.5 percent from July, a provisional loading schedule showed on Monday, which traders said could depress futures prices and spot differentials.
Traders said the expected completion of maintenance at the Girassol oilfield boosted the export volume of Girassol crude, leading to the rise in the overall exports.
"It is a lot of Angolan oil. The programme looks very long," a trader of West African crude said.
The August schedule showed seven cargoes of Girassol crude, compared with three cargoes available for May and June due to reduced output during the field maintenance.
The availability of Pazflor, the newest Angolan crude, will be stable from July at seven cargoes.
The final loading schedule for July showed the daily exports would average 1.58 million bpd, the lowest since June 2011.
The jump in the August export volume comes amid an 18 percent slide in Brent crude futures prices since early May.
Traders said the August increase could put further pressure on outright crude futures prices and spot differentials but that the direction of Chinese demand would probably have a more decisive impact on the oil market.
"It is really up to Chinese demand," a second trader said. "Some people say there is a concern over potential economic slowdown in China, but July Angolan cargoes are sold out, whereas Nigerian crude is not doing well."
China, the world's top energy consumer, is the largest buyer of Angolan crude, steadily scooping up at least one-third of the supply every month. The major buyers of Nigerian crude are typically U.S. and Indian oil companies, and their demand can vary depending on month.
The pace of Chinese companies' purchase of Angolan crude is often used as a rough gauge of Chinese demand for oil as the monthly Angolan programme normally becomes available and trade kicks off ahead of those from other crude oil producers.
 
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