[« Les Tunisiens ne sont pas contents de la tournure des événements dans leurs pays et ils le montrent, constate le quotidien La Tribune en Algérie. Hier, c’étaient le tour des habitants de Sidi Bouzid, ville contestatrice, d’où est partie l’étincelle du printemps arabe, de crier ce mécontentement. Des manifestants ont pulvérisé la tribune officielle de jets de pierres. Des jets contre le chef de l’Etat tunisien, Moncef Marzouki et le président du Parlement, Mustapha Ben Jaafar, à Sidi Bouzid où se déroulaient les célébrations du deuxième anniversaire du début de la révolution tunisienne. » ]

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