[U.S. President Barack Obama has ordered 100 American soldiers to central Africa, where they will assist local forces in efforts to locate Joseph Kony, leader of the infamous Lord’s Resistance Army (LRA). The LRA, estimated to consist of hundreds or perhaps several thousand fighters, has waged a campaign of brutal terror against civilians in Uganda and South Sudan for decades. America’s efforts to help the Ugandans confront this despicable group are welcome.]

 

BURUNDI :

Saisie de quatre grenades et des tenues de policières dans un campus

Xinhua/Lundi 17 octobre 2011

BUJUMBURA (Xinhua) — La police burundaise a déclaré avoir saisi quatre grenenades et des tenues policières dans la chambre d’un étudiant dans le campus universitaire de Mutanga, au centre-est de Bujumbua, capitale burundaise, lors d’une perquisition effectuée dimanche.

L’étudiant en question a été arrêté pour “détention illégale d’armes”, a affirmé le porte-parole de la Police nationale du Burundi (PNP), Channel Ntarabaganyi, qui a précisé que la police avait lancé cette opération après avoir reçu des informations faisant état de l’existence de ces armes dans le campus.

“On doit pousser plus loin les enquêtes pour savoir quelle était la finalité de ces armes, leur provenance et à quoi elles devaient servir”, a martelé le porte-parole de la PNB.

Des étudiants avaient tenté d’empêcher la police d’accomplir sa mission, ce qui a poussé la police à recourir aux sommations et au gaz lacrymogène.

Un étudiant a trouvé la mort dans les affrontements. Selon M. Ntarabaganyi, la mort de cet étudiant était accidentelle.

Le porte-parole de la PNP a aussi démenti les rumeurs faisant état de l’existence d’une liste des étudiants en instance d’arrestation, affirmant qu’il n’y a pas d’autres poursuites envisagés au sein du campus universitaire pour le moment.

Burundi : affrontements entre la police et les étudiants, un mort et 4 blessés

Xinhua/Dimanche 16 octobre 2011

BUJUMBURA (Xinhua) – Des affrontements ont opposé dimanche matin des éléments de la police et des étudiants du campus universitaire de Mutanga, au centre-est de Bujumbura, a constaté un correspondant de Xinhuas sur place.

Un étudiant a été tué et quatre autres blessés dont un grièvement lors des affrontements, ont affirmé les étudiants.

La police a tiré en l’air pour tenter de disperser les étudiants, qui résistent en lançant des jets de pierres en direction des policiers, envoyés dans ce campus dans le cadre d’une opération de perquisition.

Selon le porte-parole de la Police Nationale du Burundi (PNB) , Pierre-Chanel Ntarabaganyi, la police a effectué cette mission à la suite des informations faisant état de la possession par des individus d’objets susceptibles de perturber la sécurité.

La perquisition a permis la saisie, dans une des chambres, de 7 tenues policières, 4 bottines, un imperméable militaire, 4 grenades défensives et 9 chargeurs, a-t-il déclaré.

Un étudiant a été appréhendé pendant l’opération, a affirmé le porte-parole.

La situation reste tendue autour du campus, encerclé par la police. Celle-ci cherche aussi à récupérer une arme d’un policier tombée entre les mains des étudiants.

RWANDA :

Rwanda revises growth upwards

Monday, 17 October 2011 /www.busiweek.com/ Bosco Hitimana .

KIGALI, RWANDA- Rwanda has revised this year’s growth projection to 8.8% driven by better performance in agriculture, services and industry sectors accompanied by more than expected credit growth.

The East African country, which has maintained low but rising inflation in the region, had initially projected growth to reach 7%, which was lower than 7.5% achieved last year.

However with credit growing unexpectedly by 20.9% as of August against annual target of 19.2% and agriculture by 8.2% plus, industry sector by 15.1% plus and services sector by 8.5% plus, Rwanda says the outlook looks better than it was expected.

The National Bank of Rwanda said in an economic review paper that better agricultural performance was a result of performance of harvests for 2011 seasons A and B at 10.4% than the harvest recorded in the same seasons at 9.5% in 2010.

This was due to favourable weather conditions, government Crop Intensification Programme that focuses on increased supply and use of fertilizers and selected seeds and land consolidation programme.

The non-agriculture activities also performed well as evidenced by the Bank’s Composite Indicator of Economic Activities (CIEA), which increased in nominal terms by 11.8% in August compared to 10.8%, recorded in the same period of 2010. On average, the CIEA rose by 9.2% in the first eight months of 2011 compared to an increase of 6.8% in the first eight months of 2010.

Performance in non agricultural activity is also evidenced by significant increase in the turnover registered by the industry and service sectors.

Rwanda: Eala Welcomes Ntawukuliryayo

15 October 2011/The New Times

The East African Legislative Assembly (EALA), has congratulated, Dr. Jean Damascene Ntawukuliryayo following his election as the Rwandan Senate President.

The regional parliament’s speaker, Hon. Abdirahin Haithar Abdi, said that Dr. Ntawukuliryayo’s victory is a sign that the Senate has full confidence in his leadership abilities.

“I am certain that Dr. Ntawukuliryayo, who previously served as the Deputy Speaker of Parliament of Rwanda, has the credentials and the necessary experience to steer the Senate forward,” said the EALA Speaker.

“EALA assures Dr. Ntawukuliryayo of its full support. We are confident that with such rich (curriculum) vitae and experience, the Senate President shall deliver the responsibilities of the new docket with impetus and vigour.”

In the same vein, the EALA Speaker saluted Bernard Makuza, the former Prime Minister of Rwanda and Jeanne d’Arc Gakuba, who were both elected Vice Presidents of the Senate.

“I also wish to thank the outgoing President of the Senate, Dr. Vincent Biruta, whose mandate has come to an end, for steering the inaugural Senate impressively over the last eight years in drafting, ratifying and passing vital Bills.”

The EALA Speaker further notes that the bloc’s legislative arm enjoys warm and cordial relations with the Parliament of Rwanda, and is committed to ensuring the co-operation moves “a notch higher” for the betterment of Rwanda and the bloc.

RDC CONGO:

RDC : Deployment des troupes américaines, l’échec se profile à l’horizon

16/10/2011/KongoTimes!

L’expédition américaine avec un mandat précis dans son contenu et dans le temps n’apporterait pas une solution militaire élaborée dans des officines de la Pentagone, malgré l’immensité des moyens à leur disposition.

Regain d’intérêts de la part des Etats-Unis pour la paix et la sécurité en République démocratique du Congo. Barack Obama vient de décider l’envoi d’une expédition pour la traque de Joseph Kony et son mouvement la LRA. Pour une mission similaire, des forces spéciales guatémaltèques avaient essuyé un revers avec l’assassinat de huit Casques bleus qui avaient tenté de trop s’approcher de la cachette de Kony. Les craintes d’un remake sont donc justifiées !

Comme pour démontrer leur volonté politique à accompagner toute initiative visant à consolider la paix et la sécurité nationale, les Etats-Unis ont décidé de déployer des soldats américains en Afrique centrale. Le président Barack Obama a décidé d’envoyer une centaine des soldats suffisamment équipés et qui seront déployés en RCA, en République démocratique du Congo, en Ouganda et au Soudan du sud. Officiellement pour combattre la LRA, ce groupe armé ougandais qui cause mort, désolation et destruction en RCA, RDC, Sud du Soudan et Ouganda. Ces militaires, selon la lettre du président américain au Congrès serviront de conseillers près les Etats susmentionnés afin de fournir des informations de première nécessité en vue de neutraliser les éléments de la LRA, et n’interviendront qu’en cas de légitime défense.

Cette décision américaine constitue, en d’autres termes, une réponse à une recommandation du sommet de Libreville sur la paix et la sécurité en Afrique centrale. Ce sommet de Libreville organisé, du 10 au 11 octobre 2011, par l’ONU sur un constat d’échec d’un retour problématique de la paix en Afrique centrale, a préconisé le renforcement d’un appui militaire à la MONUSCO en vue d’en finir avec la LRA.

L’on pense également que cette décision prend en compte certains éléments d’appréciation de l’AFRICOM, ce commandement militaire américain en Afrique, déjà opérationnel dans la région. A en croire certaines indiscrétions, il y aurait une présence militaire dans une zone frontalière entre la RDC et le Congo-Brazzaville, à la hauteur de la province de l’Equateur. Présence militaire qui s’expliquerait par la situation qui prévaut au Soudan du sud, pays qui vient à peine d’accéder à son indépendance.

Lorsque l’on sait que des groupes armés, notamment la LRA et les FDLR, deviennent de plus en plus actifs dans l’Est du pays à l’approche des élections, il s’agit là encore d’un autre élément d’appréciation qui pourrait justifier l’envoi de ces militaires américains en vue de combattre ces forces négatives. Dans le cadre de la diplomatie préventive, on ne pouvait exclure une telle éventualité militaire pour anticiper toute action négative susceptible de conduire à un débordement, à un dérapage après les élections en RDC.

Au moment où l’on intensifie la lutte contre le terrorisme international, et que l’Afrique centrale passe pour un terrain fertile à ce genre d’activités criminelles, avec une circulation dense des armes et de la drogue, la paix et la sécurité exigent de gros moyens. Par cette décision, les Etats-Unis sont en train de prouver qu’ils sont disposés à accompagner les Etats de la région à consolider la paix et la sécurité au plan sous-régional.

Ce sont là des signaux forts qui doivent interpeller les dirigeants de la RDC. Que la République démocratique du Congo demeure toujours un enjeu important dans la région et que les élections 2011 s’annoncent comme un moment déterminant de sortir des sentiers battus. Pour que la RDC joue les premiers rôles dans la région de l’Afrique centrale et des Grands Lacs.

Des craintes

Une expédition pour traquer la LRA rappelle à maints égards une autre conduite par les Casques bleus des forces spéciales guatémaltèques. Dans la semaine du 23 au 29 janvier 2006, huit Casques bleus des forces spéciales guatémaltèques avaient été exécutés probablement par une bande armée de la LRA (Lord Resistance Army) ougandaise aux frontières de la RDC. Cet incident avait créé un émoi dans l’opinion tant nationale qu’internationale.

Le débarquement d’une centaine de marines à l’Est de la RDC, notamment en Ouganda pour une mission ayant déjà connu un échec pousse à des interrogations.

Les motivations avancées sont nobles, mais insuffisantes pour l’instauration d’une paix durable dans cette partie du continent. La formation des armées fortes, professionnelles, républicaines dans les pays où la LRA a installée ses bases, serait la solution la plus appropriée. Une centaine de soldats américains peuvent conseiller les armées nationales de la RCA, de l’Ouganda ou de la RDC. Il faut aller au-delà, en privilégiant la mise en place des armées avec des équipements et un encadrement adapté aux exigences d’une lutte contre un mouvement qui se confond avec l’environnement hostile, difficile au déploiement des armées classiques comme les FARDC.

Les Etats-Unis qui s’activent dans la formation d’un bataillon des FARDC, devraient poursuivre sur cette voie. La centaine de soldats ne constituent pas, en eux seuls, le gage d’une victoire certaine qui aboutirait à l’éradication de ce mouvement inscrit sur la liste noire des «forces négatives».

L’expédition américaine avec un mandat précis dans son contenu et dans le temps n’apporterait pas une solution militaire élaborée dans des officines de la Pentagone, malgré l’immensité des moyens à leur disposition. L’échec se profile à l’horizon, si à la manière de Rambo, les marines seraient tentés d’imposer une solution expéditive, sans qu’un accompagnement diplomatique ne soit prévu, notamment dans la démocratisation de l’espace politique ougandais.

Lutte contre la LRA : Obama annonce l’envoi de 100 soldats en Afrique Centrale

Le président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé vendredi l’envoi d’une centaine de soldats américains en Ouganda afin d’appuyer les soldats de pays de la région engagés dans la lutte contre l’Armée de résistance du seigneur (LRA), un groupe rebelle accusé d’atrocités. Dans une lettre au Congrès et communiquée aux médias, M. Obama a indiqué avoir “autorisé un petit nombre de forces américaines équipées pour le combat à se déployer en Afrique centrale pour aider les forces de la région œuvrant à faire quitter le champ de bataille à Joseph Kony”, le chef de la LRA.

Ces soldats seront ensuite également déployés dans d’autres pays voisins où la LRA est présente. “Ces forces conseilleront des armées partenaires” ciblant Kony et “d’autres membres de la direction de la LRA”, explique ce courrier. “Nos forces fourniront des renseignements, des conseils et une aide” à ces armées, a affirmé M. Obama. Victoria Nuland, la porte-parole du département d’Etat, a précisé que les militaires américains ne combattraient pas la LRA, sauf en cas de légitime défense.

Fin 2010, M. Obama avait publié à la demande du Congrès un plan d’action contre la rébellion, visant à désarmer la LRA et à traduire ses chefs en justice, à protéger les civils et à fournir davantage d’aide humanitaire aux personnes touchées. La LRA, réputée pour être une des guérillas les plus brutales au monde, est active depuis 1988 dans le Nord de l’Ouganda, mais depuis 2005, ses combattants se sont installés dans l’extrême Nord-Est de la République démocratique du Congo (RDC), ainsi qu’en Centrafrique et au Sud-Soudan.

Le 4 octobre, le responsable de la zone Afrique pour l’armée américaine, le général Carter Ham, avait affirmé que Kony, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, se trouvait “probablement” en Centrafrique. «Ma meilleure estimation en ce moment est que Kony et les principaux responsables (de la LRA) se trouvent probablement en République centrafricaine», avait déclaré le général Ham lors d’une intervention devant le Centre pour les études stratégiques et internationales (CSIS), un cercle de réflexion de Washington.

«L’armée ougandaise porte son effort dans cette zone», avait-il ajouté, rappelant que la LRA «continue de terroriser, d’assassiner et d’enlever» les habitants de ces régions. Le général américain s’était alors dit “optimiste” sur une augmentation prochaine du nombre d’instructeurs et de conseillers militaires américains pour aider les pays de la région à combattre cette rébellion.

Washington assure déjà l’entraînement d’un bataillon de l’armée congolaise et est actuellement en discussions avec Kinshasa pour en former un second, avait-il confié. Les Etats-Unis ont consacré à cette mission 40 millions de dollars en soutien logistique, en équipement et en entraînement depuis 2008, a indiqué vendredi le Département d’Etat. Quelque 18 millions d’aide humanitaire aux personnes déplacées, 380.000 selon Washington, ont également été fournis en 2011.

[Le Potentiel/Médiascongo/AFP]

UGANDA:

Mission to Uganda

National Post /· Oct. 17, 2011

U.S. President Barack Obama has ordered 100 American soldiers to central Africa, where they will assist local forces in efforts to locate Joseph Kony, leader of the infamous Lord’s Resistance Army (LRA). The LRA, estimated to consist of hundreds or perhaps several thousand fighters, has waged a campaign of brutal terror against civilians in Uganda and South Sudan for decades. America’s efforts to help the Ugandans confront this despicable group are welcome.

Kony has indoctrinated his troops with a warped blend of apocalyptic Christianity and local nationalism. His forces are notorious for raiding villages and abducting children and young teenagers, who are brainwashed into the LRA and used as servants, infantry and sex slaves (often, the sexual assaults are part of the brainwashing). His unwilling soldiers are routinely beaten and murdered in front of the others for even the slightest breach of discipline. It is not unheard of for these troops to be deployed in massacres against their own villages, and even families.

In short, Kony is one of the most evil paramilitary leaders active anywhere in the world today. He is richly deserving of the attention that President Obama has seen fit to arrange for him.

According to the White House, the U.S. force will consist of two combat units, armed with the typical advanced array of weapons employed by the American military, and a small logistical support team. These troops will not be tasked explicitly with the job of hunting Kony down. Officially, they will only use force in self-defence, but as any encounter with LRA forces will be hostile by default, it is likely that the American troops soon to arrive in central Africa are fully aware that they are embarking on a combat mission and will expect to see battle.

With deployments still underway in and around Libya, Afghanistan and Iraq, Americans are understandably wary of further international military commitments. But we believe they will support this mission in central Africa. Recent U.S. military successes – the elimination of al-Qaeda leaders Osama bin Laden and Anwar al-Awlaki come to mind – have been triumphs of small, high-tech forces exploiting unmanned weapons and superior mobility to achieve important results. The Ugandan military has been seeking to locate and kill Kony for years, without success. There is every reason to hope that, with U.S. assistance and technology, the LRA may soon find itself leaderless. Cults generally fall apart when their leader dies or is captured, and the LRA likely will prove no different.

True, the size of the American detachment is quite small – even by the standards of irregular warfare. But the situation in Uganda is not the same as that in Darfur or Congo, places where massacres involving hundreds of thousands of victims have unfolded simultaneously in countless small villages spread over tens of thousands of square miles. In any event, Western troops already have shown that small numbers can make a big difference in small sub-Saharan African nations. In 2000, for instance, a force of just 600 British marines led a successful campaign to subdue a rebel uprising in Sierra Leone. The villain in that case, Revolutionary United Front leader Foday Sankoh, was a medieval butcher much like Kony.

For too long, the people of central Africa have been either ignored, or assigned underequipped African Union peacekeeping forces of dubious use and that at times are little better than the forces they are sent to subdue. The deployment of U.S. troops to the region is a small investment for America, but can be expected to pay big dividends for the local population.

Americans and other Westerners also should pay close attention. Whenever critics of American foreign policy denounce the Iraq war or even the Afghan campaign, there typically is a casual insinuation that these are colonial or quasicolonial undertakings aimed at stripping the local nation of its resources. Yet the truth is that most interventions, including those in Haiti and Kosovo, involve parts of the world that have little strategic or mercantile value. Uganda is a perfect example: This is not a war for oil, or diamonds, or any other commodity. It is a mission to fight human suffering.

For all the talk of us living in a post-American era, it is interesting to note that only America, not China or Russia or India or the leading nations of Europe (which not so long ago, lorded over the Lake Victoria region as murderous colonizers) seems interested in saving children from the predations of the LRA. Fortunately for Uganda, the American era isn’t over quite just yet.

Uganda launches inquiry in oil deals

Monday, 17 October 2011 / Joseph Olanyo & Jerome Mukasa /www.busiweek.com .

Kampala, Uganda – There comes a time in the life of any one, when one needs to take a position not because it is safe, popular nor political; but because it is the right thing to do, were words of American civil rights leader Martin Luther King Junior.

In Uganda, three Cabinet Ministers have taken that path. The withdrawal from official duties of Foreign Affairs Minister, Sam Kutesa, government chief whip, John Nasasira and junior labour Minister, Mwesigwa Rukutana last week to pave way for investigations into corruption allegations, has sounded warning bells to other government officials.

The trio appeared before the Anti-corruption Court on October 13, to answer charges related to procurement of goods and services prior to the Commonwealth Heads of government Meeting held in Kampala in 2007. They denied the charges.

But Kutesa faces another inquiry alongside Prime minister Amama Mbabazi and Internal affairs minister Hilary Onek over allegations that they received bribes to influence oil contracts. Some parliamentarians want the trio censured. But for now an adhoc committee of Parliament is set to inquire into the oil dealings.

The pressure comes at a time when MPs have taken a strong stand against rampant corruption in the country.

During a heated special parliamentary session on the young oil sector last week, Uganda’s Parliament voted to suspend all deals in the oil sector following claims that government ministers took multi-million dollar bribes.

The parliamentary session was called to remove suspicions concerning the oil sharing agreements between Uganda and Tullow. The government had refused to publicise the agreements citing confidentiality, a clause the MPs said was being used to hide information.

Suspicion had risen that some Ugandan ministers and senior government officials had agreed terms favouring them as individuals rather than favouring the country.

MPs asked the officials cited in the shoddy oil deals to step aside as investigations continue.

The move followed shocking revelations that were made by MP Gerald Karuhanga to Parliament on October 10 that UK-based Tullow Oil allegedly paid bribes to the tune of US$100 million to officials to influence decisions.

The ministers and Tullow say the documents were forged and have also received backing from the President although some of his ministers have openly backed the inquiry.

President receives Chinese Delegation

www.mediacentre.go.ug/Monday, 17 October 2011

President Yoweri Museveni has told a Chinese delegation that Uganda needs more investors, tourists and trainers in skills from their country.

President Museveni was meeting a delegation from the Chinese Free Trade Union at State House Nakasero today. The delegation was led by Mr.LI Shiming, one of the leaders of the Chinese Free Trade Union.

The delegation was accompanied by leaders of the Central Organisation of Free Trade Unions (COFTU) who included its Chairman, General Christopher Kahirita and Secretary General, Dr.Sam Lyomoki, among others.

Other members of the visiting Chinese delegation, included Mr. Guo Dehong, Mr. Peng Young, Mr. Ouyang Yingbin, Mr. Zhang Jie and Ms. Geng Jiamih. President Museveni hailed the existing relations and cooperation between Uganda and China that started in 1963. He welcomed the Chinese offer of trainers in skills and urged the delegation to encourage more investors and tourists to visit Uganda.

President Museveni enumerated some of the Chinese contributions to Uganda which include, among others, the food technology centre which was a gift from the Chinese government when he met their leaders in 1989, the Mandela National Stadium, Namboole, introducing rice growing and cooperation in defence.

The President noted that Africa has a lot of potential which Chinese investors can harness for the benefit of both parties. “Africa is going to be a big economy in the coming years”, he said.

The President observed that China has developed very fast becoming the second largest world economy within a very short time. He said that there was need to help Ugandan Trade Unions both by imparting skills and political ideology.

On behalf of the visiting delegation, Mr. Li Shiming assured the President of the Chinese commitment to giving more help to Ugandans and pledged more skill trainers from his country. He thanked the President for maintaining excellent relationship between the two countries from which relationship the two countries have benefited.

Dr. Lyomoki told the President that the organization had benefited in many ways from their Chinese counterparts. He told the President that with the Chinese assistance, the organization has established a trade union centre for its members.

ENDS

Airtel Uganda to compensate BlackBerry customers

By Monitor reporter /Posted Monday, October 17 2011

Airtel Uganda on Friday said it would offer its BlackBerry customers a service waiver following a global outage attributed to the service provider Research in Motion (RIM).

The BlackBerry outage was caused by a hardware error which halted messaging and Web browsing across many parts of the world, disrupting services for 3 days.

In a statement to Daily Monitor Mr V.G Somasekhar, the Airtel Uganda managing director said: “We remain concerned about the inconvenience this has caused to our BlackBerry users and we would like to compensate both our pre-paid and postpaid customers for the inconvenience as we best can, ” he added; “for our PostPaid customers; who are customers paying their bills at the end of every month, we will waive three days off the BlackBerry monthly rental for the month of October.

The three day waiver will be reflected in the monthly bill sent to all our postpaid BlackBerry users for the month of October.” Research in Motion has now fully restored data services to its BlackBerry devices.

editorial@ug.nationmedia.com

McCain rips Obama, warns of ‘slippery slope’ with U.S. troops in Uganda

Published: 10/16/2011 /By Jeff Poor – The Daily Caller

The Obama administration surprised a lot of folks late last week when it announced it was sending around 100 American troops to Uganda to help regional forces take out Lord’s Resistance Army leader Joseph Kony. But could the United States ultimately end up sending more troops?

While invoking the memory of American operations in Somalia and Lebanon, Republican Arizona Sen. John McCain warned the White House Sunday to not allow the mission in Uganda to spiral into something bigger.

“First of all, I think as you described, one of the most horrible groups ever to inhabit the earth is this Lord’s Resistance Army,” McCain said on CNN’s “State of the Union.” “And I think it is appropriate for us to do what we can to prevent and eradicate them. It is a big part of the world. We don’t know any of the details. I remember Somalia. I remember Lebanon. We’ve got to be very careful about how we engage. This slippery slope thing could happen there. I think it’s mainly humanitarian in this case.”

McCain went on to criticize President Obama for not consulting with Congress before announcing the operation.

“This guy [Joseph] Kony and this Lord’s Resistance Army are guilty of unspeakable behavior and the human rights organizations all over the world want this to stop,” McCain said.

“I worry about with the best of intentions we somehow get engaged in a commitment that we can’t get out of, that’s happened before in our history and we need an explanation. And I’m very disappointed, again, that the administration has not consulted with members of Congress before taking such action. I’ve been under four presidents, and this is the least communicative with Congress of any administration that I’ve ever seen. And maybe it has something to do with the polarization of politics, but it is unfortunate.”

 


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News Reporter