[Nigerian President Goodluck Jonathan faces the biggest battle of his political career as a general strike to protest the end of fuel subsidies entered its second day amid attacks by Islamic militants in the north.]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BURUNDI :

 

En 2015, plus de 50% des Burundais seront abonnés au téléphone mobile

www.agenceecofin.com/09012012

 

(Agence Ecofin) – En 2015, plus d’un Burundais sur deux sera abonné à un réseau GSM de téléphonie mobile.

 

C’est ce que révèle une récente étude du cabinet IE Market Research Corp qui indique que les opérateurs mobiles du Burundi totaliseront 4,5 millions d’abonnés, sur une population de 8 millions d’habitants.

 

Cinq opérateurs se partagent actuellement le marché burundais des télécommunications: U-Com, Onatel Burundi, Econet Wireless, Africell Burundi et Lacell SU. IE Market Research Corp prévoit qu’Econet disposera, d’ici 2015, de 21,8% du marché du mobile.

 

 

 

 

 

 

RWANDA :

 

Affaire Mugesera: malaise dans la communauté

09 janvier 2012 /www.cyberpresse.ca/ Ian Bussières/Le Soleil

 

(Québec) De retour dans l’actualité, le dossier de l’ex-politicien rwandais Léon Mugesera, qui réside à Québec depuis près de 20 ans, crée toujours un malaise parmi les résidants de la capitale originaires du Rwanda et du Burundi, le pays voisin où plusieurs sont allés se réfugier lors du génocide de 1994.

La Cour fédérale entendra aujourd’hui une nouvelle requête déposée par l’avocate de Mugesera visant à suspendre l’expulsion vers le Rwanda de celui qui est soupçonné d’incitation au génocide. L’expulsion est prévue pour jeudi, mais l’avocate souhaite faire une demande de révision judiciaire.

 

«Mugesera? Je préfère ne rien dire à ce sujet, d’accord?», a déclaré François, un Burundais installé à Québec depuis sept ans rencontré lors de la Fête familiale et interculturelle de l’Église de Québec. «Je ne connais rien de lui», a quant à lui déclaré son compatriote Barnabé, qui a tout de même suivi l’affaire dans les médias.

 

Leila Butoyi, une Rwandaise qui a habité au Burundi et en Belgique avant d’immigrer au Québec, avait pour sa part un point de vue particulier sur le dossier. «J’ai fait un travail sur Mugesera quand j’étudiais en science politique, mais à l’époque, je ne savais pas du tout qu’il était ici à Québec», explique celle qui fait partie de l’ethnie tutsie, la minorité ciblée par le génocide.

 

«En étudiant son histoire, je me suis rendu compte que, oui, même les coupables ont des droits. C’est un paradoxe et c’est dur à comprendre qu’ils puissent continuer à vivre librement quand on parle de personnes qui ont contribué à enlever la vie d’autres personnes», poursuit celle qui n’a pas vécu directement le génocide puisqu’elle habitait au Burundi en 1994.

 

«Par contre, ma mère en a subi les conséquences directes. Elle est la seule survivante de sa famille. Je n’ai plus aucune parenté du côté de ma mère», indique Leila, qui signale que le sujet demeure très conflictuel chez elle.

 

«À cause de ce qu’ils ont vécu, mes parents sont beaucoup plus radicaux que moi. Par exemple, moi, j’ai des amis de l’ethnie hutue, qui était au pouvoir lors du génocide, mais mes parents ne pourraient jamais envisager que j’épouse un Hutu», explique celle qui estime tout de même que Léon Mugesera devrait être expulsé vers le Rwanda.

 

«Par respect pour les victimes du génocide, je crois qu’il doit être expatrié. Je peux comprendre qu’il ait certaines craintes, mais le Rwanda n’applique plus la peine de mort maintenant et il faudrait qu’il réponde de ses actes», poursuit-elle.

 

Leila ajoute qu’elle trouve dommage de constater que, souvent, ce sont surtout les jeunes qui agissaient comme «soldats» lors du génocide et massacraient les Tutsis à coups de machette qui sont derrière les barreaux.

 

«Je trouve ça dommage de voir les têtes pensantes du génocide en liberté, car ce sont eux qui ont incité les autres à la haine et qui transmettent souvent cette haine à leurs enfants», conclut-elle.

 

 

 

Rwanda- France : le rapport sur l’attentat contre l’avion de Habyarimana prêt

 9. jan/ Par Jean Mitari /www.jambonews.net

 

Le rapport tant attendu des juges français Marc Trévidic et Nathalie Poux sur l’attentat qui a couté la vie à Juvénal Habryarimana, et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira est prêt et aurait été remis aux autorités rwandaises ce dimanche 8 janvier, nous annonce le site ougandais ChimpReports.com.Le rapport devrait être publié ce mardi 10 janvier selon plusieurs sources dont le quotidien pro-gouvernemental rwandais Igihe.com.

 

Les deux juges français Marc Trévidic et Nathalie Poux, enquêtaient sur l’attentat du 6 avril 1994, depuis 2007, suite au retrait de Jean Louis Bruguière nommé Haut représentant de l’UE auprès des Etats-Unis dans le cadre du programme de lutte contre le terrorisme (Terrorism, Finance, Tracking Programme).  Le célèbre ancien juge anti terroriste Jean-Louis Bruguière a enquêté sur cet attentat depuis qui’ il a été saisi en 1998, à la suite de la plainte des parents des pilotes français de l’avion présidentiel. Les nouveaux juges français Trévidic et Poux chargés de l’affaire, ont repris toute l’enquête technique sur les tirs, avec un premier transport sur les lieux de l’attentat à Kigali en septembre dernier, en compagnie de nombreux experts.

 

Le juge Jean-Louis Bruguière, auquel Marc Trévidic et Nathalie Poux ont succédé en 2007, accusait Paul Kagame d’avoir planifié et mis en œuvre l’attentat avec son état-major. Selon Jean-Louis Bruguière, la décision d’attenter à la vie de Juvenal Habyarimana aurait été prise lors d’au moins trois réunions tenues fin 1993 et début 1994 au quartier général du haut-commandement militaire du FPR, à Mulindi. Le juge français suggère aussi que le chef du FPR avait prévu et instrumentalisé les massacres. Bruguière a estimé par ailleurs que Kagamé devrait être jugé par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR). Ce dernier avait par la suite délivré en novembre 2006, neuf mandats d’arrêt internationaux visant de hauts responsables rwandais dont l’actuel président, le général Paul Kagame. Les autorités en place à Kigali étaient ainsi désignées comme les responsables de l’attentat du 6 avril 1994 contre l’avion du président rwandais Habyarimana, qui a donné le signal du génocide. Plusieurs témoins rwandais ont été depuis réinterrogés par les juges Trévidic et Poux.

 

Le soir du 6 avril 1994, l’avion transportant notamment le président Habyarimana et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira avait été abattu en phase d’atterrissage à Kigali par un missile antiaérien. Cet attentat toujours mystérieux est considéré comme le signal déclencheur de l’un des plus grands génocides du XXe siècle, ayant fait quelques 800.000 morts, en l’espace de 100 jours. Le conflit inter ethnique déclenché par l’attentat avait également été le point de départ d’une déstabilisation régionale, qui à ce jour, a fait 6 à 8 millions de morts selon plusieurs sources, à majorité des congolais.

 

Deux thèses s’affrontent dans les enquêtes: la première qui est celle du juge Bruguière, aussi partagée par plusieurs ex proches de Paul Kagame, met en cause l’ex-rébellion tutsi du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagame, actuellement au pouvoir. La seconde, avancée notamment par le régime de Kigali, impute l’attentat aux « extrémistes Hutu  » des Forces armées rwandaises qui auraient voulu se débarrasser du président Habyarimana, jugé trop modéré ».

 

Le 1er octobre 2011, Théogène Rudasingwa, ancien secrétaire général du FPR, le parti de Paul Kagamé, ancien ambassadeur du Rwanda aux Etats-Unis et ancien directeur de cabinet du Président Kagame, a enfoncé le couteau dans la plaie en accusant le président rwandais d’être le commanditaire de l’attentat aux micros de RFI et BBC.

 

Plusieurs personnes, ayant été membres du 1er gouvernement mis en place par le FPR à l’issue de sa victoire militaire de juillet 1994, comme Jean-Marie Vianney Ndagijimana , ex chef de la diplomatie rwandaise exilé aujourd’hui en France, et Twagiramungu Faustin, ex premier ministre, ont maintes fois pointé du doigt Paul Kagame comme responsable de l’attentat, cependant, l’accusation de Théogène Rudasingwa est accueilli avec beaucoup plus d’ intérêt, car venant d’ un ex collaborateur membre du cercle très restreint autour de Paul Kagame. «  «En 1994, Paul Kagame m’a personnellement confié qu’il a été le responsable des ordres donnés, de la mise en place du plan et de l’exécution de ce plan. A cette époque, j’étais le secrétaire général des Forces patriotiques du Rwanda (le parti de Paul Kagame) et je faisais aussi parti de l’armée rebelle, donc je travaillais dans l’entourage direct de Paul Kagamé.  » a indiqué M. Rudasingwa sur la RFI. L’ex-bras droit de Kagame admet encore avoir été au premier rang comme beaucoup d’autres au sein de la direction du FPR, de ceux qui étaient chargés de vendre « un récit mensonger avec enthousiasme en particulier aux étrangers qui pour la plupart l’ont cru« , alors même qu’il savait « que Kagame était l’auteur de ce crime« .

 

« Pendant longtemps, j’ai été l’un de ceux qui ont dit des mensonges et ont affirmé que c’est quelqu’un d’autre qui est le responsable de ce crash. Mais à présent que Paul Kagamé entraine le pays dans des situations dangereuses, je me dis qu’en révélant la vérité, cela peut servir à la réconciliation du pays. Cela peut être un exemple, pour la prévention d’éventuelles violences dans le pays. » A –t-il ajouté.

 

Dans le cadre de l’enquête sur cet attentat du 6 avril 1994 contre l’avion présidentiel, les juges français Nathalie Poux et Marc Trévidic se sont rendus à Bujumbura du 5 au 15 décembre 2010. A cette occasion, ils ont entendu six des « suspects », tous proches de Paul Kagame, il s’ agit de James Kabarebe, Sam Kanyamera, Charles Kayonga, Jackson Nziza, Frank Nziza et Jacob Tumwine, visés par des mandats d’arrêt internationaux délivrés par le juge Bruguière en 2006, ces personnes sont poursuivies pour « complicité d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste ».

 

Ce rendez-vous judiciaire au Burundi a permis d’éviter aux suspects une arrestation qui aurait été, selon la procédure, automatique s’ils étaient venus en Europe. En contrepartie, les mandats d’arrêt délivrés en 2006 par la France et qui avaient provoqué la rupture des relations diplomatiques entre Paris et Kigali ont été levés. Les suspects resteront poursuivis, mais retrouvent leur liberté de mouvement.

 

Les détails du rapport qui aurait été remis aux autorités rwandaises ce dimanche, devraient être publiés ce mardi 10 janvier. Le contenu de ce rapport est déterminant car l’attentat contre Habyarimana fait aujourd’hui l’unanimité comme étant l’énorme étincelle qui a mis le feu aux poudres au Rwanda et à l’origine de la déstabilisation régionale. Ce qui implique donc que son élucidation peut jeter tout l’éclairage que le monde attend sur les vrais responsables du détonateur qui a mis en marche les massacres au Rwanda en 1994.

 

Ce rapport pourra mettre le FPR de Paul Kagame en mauvaise posture, s’il s’avère que ce mouvement est responsable de l’attentat, puisque Kagame et son gouvernement n’ont cessé d’imputer cet attentat aux « extrémistes hutu » « qui se sauraient débarrassés de Habyarimana pour mettre en exécution le génocide préparé de longue date ». Rappelons que Kagame et quarante de ses proches sont également visés par la justice espagnole, qui a lancé un mandat d’arrêt en février 2008 contre ces officiers, les accusant de génocide et crimes de guerre au Rwanda. A l’origine des mandats d’arrêt espagnols, la mort de neuf ressortissants espagnols massacrés dans le nord du Rwanda en janvier 1997.Il existe aussi, selon la justice espagnole, suffisamment de preuves contre l’actuel président rwandais Paul Kagame pour l’inculper pour crimes de guerre. Toutefois il ne peut être poursuivi en raison de l’immunité accordée aux chefs d’Etat.

 

Jean Mitari

 

Jambonews.net

 

 

 

Rwandan man makes last-ditch effort to stave off expulsion order

By KATHERINE WILTON, The Gazette /www.montrealgazette.com/January 10, 2012

 

 Mugesera’s lawyer tries to head off his deportation Thursday by asking for delay

 

A Rwandan man who has been fighting expulsion from Canada since 1995 for his alleged role in the Rwandan genocide was in Federal Court Monday, in a last-ditch effort to prevent Ottawa from deporting him.

 

Léon Mugesera’s lawyer, Johanne Doyon, said her client could be subject to torture or death if he returns home.

 

“He is still considered an enemy of the government,” she told Justice Michel M.J. Shore, who has until Wednesday to rule.

 

Doyon asked the judge to quash a removal order scheduled for this Thursday. She wants more time to seek a judicial review of the federal government’s decision.

 

Doyon produced a letter from a former Rwandan prime minister, who lives in Belgium, saying he believes Mugesera would be subject to torture in his homeland.

 

When Shore pointed out that international court tribunals, including the European Court of Human Rights, recently gave the go-ahead for the extradition of former Rwandan government officials, Doyon accused the judge of being partial.

 

“You are pleading … trying to justify (the government’s case),” she said, adding that she was going to file a motion asking Shore to recuse himself from the case.

 

Rwanda has been pressing Ottawa to return Mugesera to his homeland to stand trial for war crimes.

 

Mugesera, a Hutu, called Rwandan Tutsis “cockroaches” and “scum” in a speech, encouraging his fellow Hutus to kill them.

 

A warrant was issued against him in Rwanda shortly after he gave that speech but Mugesera fled to Canada in 1992 and settled in Quebec City.

 

During the 1994 genocide, as many as 800,000 members of the Tutsi minority and some of the moderate elements within the Hutu majority were slaughtered in Rwanda.

 

Mugesera’s speech was rebroadcast at the height of the genocide.

 

Deportation proceedings commenced in 1995, but the Federal Court of Appeal found in 2003 the allegations against Mugesera were without foundation.

 

However, in June 2005, the Supreme Court of Canada overturned that decision in a unanimous ruling.

 

The court said Mugesera should not be allowed to remain in Canada because his speech helped incite the genocide.

 

After that decision, Mugesera applied for a pre-removal risk assessment, a temporary stay of deportation available as a last recourse to anyone ordered removed from Canada, on the grounds he would face torture.

 

His case had been in legal limbo until last month, when Ottawa sent Mugesera notification that he would finally be deported.

 

In a document explaining the decision, Ottawa stresses that Canada has received assurances from the Rwandan government that Mugesera will be treated well and that his rights will be protected.

 

He would face trial there for alleged war crimes.

 

A federal government lawyer acknowledged that “there are problems in Rwanda, but things are getting better.”

 

The government abolished the death penalty in 2007.

 

Shore, who took the case under advisement, said the court hearing was addressing some very important issues.

 

“We want to make sure that what happened in Rwanda never happens again,” he said.

 

kwilton@ montrealgazette.com

 

 

 

Rwanda Needs to Continue Monetary Tightening, IMF Says

By Sarah McGregor – /www.bloomberg.com/ Jan 10, 2012

 

Rwanda may need to continue monetary tightening this year “to prevent the erosion of recent gains in macroeconomic stability,” the International Monetary Fund said.

 

Economic growth in the East African nation is expected to slow in 2012 after the country experienced “high growth” in 2011, the fund said. Rwanda will need to enact “structural reforms” this year to help boost the outlook for economic growth, it said.

 

 

 

French experts to report on pre-genocide Rwanda plane attack

(AFP) /09012012

PARIS — A group of experts mandated by a French inquiry to probe the 1994 downing of Rwandan leader Juvenal Habyarimana’s jet is due to say Tuesday where the fatal ground-to-air missile was fired from.

 

This detail could prove crucial in establishing the credibility of two rival accounts of the attack, which was one of the triggers that unleashed a genocide that left around 800,000 Rwandans dead.

 

It could also revive tensions between Paris and Kigali, whose relations broke down in 2006 when a French judge accused members of now-President Paul Kagame’s regime of involvement in the assassination of his predecessor.

 

The slain pilots on board Habyarimana’s Falcon 50 jet were French citizens, giving anti-terror judge Jean-Louis Bruguiere grounds on which to investigate.

 

His probe concluded that a small commando team from Kagame’s then rebel Rwandan Patriotic Front (FPR) infiltrated the area around the airport and fired the missile that downed his enemy’s plane.

 

Eight Rwandans have been placed under investigation for the attack.

 

In contrast, a parallel Rwandan inquiry found the attack was launched from a base held by loyalist forces from Habyarimana’s Rwandan Armed Forces (FAR), targeting their own leader because he was seen as too moderate.

 

What is sure is that, following the attack, hardliners from the slain president’s Hutu ethnic group, led by members of his inner circle, began to slaughter members of Kagame’s Tutsi minority.

 

Kagame’s Tutsi FPR eventually managed to overthrow the Hutu-led regime, and peace has returned to Rwanda, but relations with France remain strained.

 

Some in Rwanda accuse French forces, which were close to Habyarimana’s forces, of siding with the Hutu death squads, a charge angrily denied by French officials from the era.

 

Relations were further strained by Bruguiere’s investigation, which caused Kigali to temporarily break off ties, but since Nicolas Sarkozy was elected French president in 2007 he has worked to improve relations.

 

Kagame and Sarkozy have now visited each other’s capitals and diplomatic relations have been restored, but ongoing judicial probes in both countries are still a source of disagreement.

 

Six French experts, who were able to visit the scene of the attack, have attempted to establish the missile’s trajectory and hence launch site.

 

 

 

Rwanda: Holland to Close-in On Genocide Fugitives

James Karuhanga/The New Times/9 January 2012

 

A Dutch prosecutor, who is in the country to investigate Genocide fugitives holed up in her country, has told Radio Netherlands Worldwide that Genocide fugitives should never have a safe haven in the European country.

 

Hester van Bruggen is quoted as saying: “People with blood on their hands shouldn’t feel they’re safe here.” Her remarks were welcomed by Prosecutor General Martin Ngoga. “That is a right principled statement. What remains and which is equally critical is how fast we move to do the right thing.”

 

Ibuka, the umbrella of organisations of Genocide survivors, also appreciated the comments from the Dutch prosecutor.

 

Janvier Forongo, the Executive Secretary of Ibuka said: “We think this is the message everyone should be sending, especially in those European countries that still accommodate Genocide perpetrators.”

 

According to Forongo, such statements should be backed by action, by arresting such suspects and making sure that they are brought to book to help end the culture of impunity.

 

“Europeans must know that protecting people’s rights does not necessarily mean not punishing such a serious crime as genocide, because most often you find that they [Europeans] use the excuse of human rights.”

 

“We all know that the whole world stood by as the Genocide took place; the least they can do is to help dispense justice” he added.

 

Meanwhile, van Bruggen is reportedly preparing a case against a Dutch-Rwandan national, Yvonne Basebya, on charges of Genocide, murder and rape.

 

The Dutch Prosecutor took up the case in 2006 and has often travelled to Rwanda for witnesses accounts.

 

Last year, van Bruggen and her legal team secured the conviction of Joseph Mpambara, who was sentenced to life in prison by a court in The Hague.

 

Despite his appeal, last July, a Dutch appeals court sentenced Mpambara to life after he was found guilty of torturing Tutsi mothers and their children death during the Genocide against the Tutsi.

 

The court also found him guilty of an extra crime of attacking a church where hundreds of Tutsi were butchered as they sought refuge.

 

 

 

BK Birla group company Jay Shree Tea to bid for Rwandan tea plantations

10 Jan, 2012/ Sutanuka GhosalSutanuka Ghosal,ET Bureau / economictimes.indiatimes.com

 

KOLKATA: The board of the BK Birla group company Jay Shree Tea & Industries has approved the company’s bid to acquire gardens in Rwanda. The Rwandan government has put two gardens on the block – Mulundi and Sagassa.

 

The last date for submitting bids is February 1. If Jay Shree Tea emerges as the successful bidder, it will be the company’s second acquisition in Rwanda.

 

The new Rwandan government plans to sell a 60% stake in tea estates immediately and another 30% in some time. The balance 10% would eventually be held by a cooperative of plantation workers. In Rwanda, tea gardens are owned by Rwanda’s tea authority, OCIR (Office des Cultures Industrielles du Rwanda), a government organization, which is behind the move to privatise government-owned tea gardens.

 

Talking to ET, DP Maheswari, managing director of the company, said: “The new Rwandan government has floated tenders inviting bids from companies which are keen to pick up stakes in the estates. We will be participating in the bidding. We want to expand our presence in Africa.”

 

In 2010, the BK Birla group company acquired a 60% stake each in two Rwandan estates – Mata Tea Company and Gisakura Tea Company. It has also acquired a 100% shareholding of Kijura Tea Company in Uganda.

 

The acquisitions have helped the company to increase its production by from 23 million kg to 29 million kg. In March 2010, Jay Shree Tea bought MP Chini Industries in Bihar. It acquired a firm called Jayantika Tea in 2008.

 

Maheswari said: “We are open to the idea of acquiring tea estates in the country if we get them at the right price. Prices at this moment are ruling high. We will wait for the right opportunity.” He added that African tea prices were firm last year as there was a drop in production. “In India, prices of north Indian tea have been good though south Indian tea has not seen much upward price revision,” he added.

 

 

 

 

 

 

RDC CONGO:

 

RDC: RFI de nouveau diffusée après plus d’une semaine de suspension

(AFP) /09012012

 

KINSHASA — La diffusion de Radio France internationale a été rétablie lundi en République démocratique du Congo, plus d’une semaine après avoir été interrompue par les autorités qui protestaient contre le traitement par RFI de la situation postélectorale en RDC, a constaté l’AFP.

 

Le chef de l’Etat sortant Joseph Kabila a été proclamé vainqueur de la présidentielle du 28 novembre au terme d’un scrutin dont de nombreux observateurs électoraux ont dénoncé les irrégularités. Son principal opposant Etienne Tshisekedi arrivé second et s’est autoproclamé “président élu”.

 

“Nous exécutons simplement la décision que le Conseil supérieur de l’audiovisuel avait prise de suspendre RFI pour sept jours à dater du jour où j’avais pris la mesure conservatoire”, a déclaré lundi à l’AFP le ministre de la Communication et des Médias Lambert Mende.

 

Le ministre avait justifié la suspension de RFI le jour de l’An en l’accusant de vouloir “créer une situation confuse qui peut nous entraîner dans des affrontements entre Congolais”. La sanction devait courir du 1er au 3 janvier, et a été décomptée de celle du Conseil supérieur de l’audiovisuel.

 

“Je pense qu’ils (…) tiennent toujours compte du nombre de jours (de sanction). C’est un peu comme au tribunal. Lorsque quelqu’un a été condamné à une peine, on prend toujours en compte la période qu’il a passée en détention préventive pour ne pas trop pénaliser les gens”, a expliqué le ministre.

 

La coupure de la radio avait provoqué des condamnations à l’intérieur de la RDC. L’ONG Voix des Sans Voix avait estimé qu’il s’agit d’un des “nombreux” prétextes “fallacieux (…) n’ayant pour seul et unique objectif que de faire véhiculer la pensée unique et les thèses qui encensent les dirigeants à longueur de journée”.

 

Le même jour, l’ONG congolaise Journaliste en danger avait annoncé que la Radio Communautaire du Katanga (RCK), dans le sud-est du pays, avait été coupée “pour quarante-cinq jours” après avoir été accusée de diffuser les “programmes de RFI”.

 

A l’étranger, la France avait “rappelé son attachement à la liberté de la presse et de l’information” et les Etats-Unis avaient “exhorté” les autorités congolaises à rétablir le signal de RFI “immédiatement”.

 

De juillet 2009 à octobre 2010, Kinshasa avait totalement coupé RFI, accusée de “démoraliser” l’armée.

 

 

 

 

 

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Lire suite du document : bur10012012.doc

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