GEOPOLITIQUE GRANDS LACS AFRICAINS, GUERRE HUMANITAIRE, REVOLUTION DE COULEUR, DROITS DE L’HOMME, JUSTICE, SECURITE – Le Burundi demande à la France et aux USA d’ arrêter d’abuser, en contradiction avec le droit international, de leur siège au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU. Ces pays mettent à chaque fois, comme bon leur semble, de manière arbitraire, sans aucune justification d’ordre sécuritaire nationale ou internationale, le Burundi à l’Agenda de cette institution onusienne. Il s’agit d’un abus de pouvoir !
NEW-YORK (ONU), Lundi 7 octobre 2019 – Dans le cadre des Politiques Etrangère, Globale, et Diplomatique, Amb. NIBIGIRA Ezechiel, Ministre burundais des Affaires Etrangères, a demandé au Conseil de Sécurité des Nations Unis de retirer -le Burundi – de son agenda. Comme l’a expliqué l’Amb. NIBIGIRA, son maintien à l’agenda devient arbitraire parce que la situation au Burundi ne constitue pas une menace à la paix et la sécurité Internationale.
Dans un contexte de Guerre Géopolitique que mène l’Occident ( les pays hébergeant les familles d’anciens colons et esclavagistes occidentaux ) contre la Chine, dans la Région des Grands Lacs Africains, le Burundi a subi une Révolution de Couleur [ http://burundi-agnews.org/revolution-de-couleur/ ] ou Tentative de Changement de Régime , en 2015, organisée par la Belgique, la France, les USA ( le Réseau Démocrate + le réseau SOROS ) et le Rwanda.
Cette tentative occidentale a échoué avec le coup d’état militaire HIMA [ http://burundi-agnews.org/hima/ ] du mercredi 13 mai 2015. Depuis, ces mêmes agresseurs occidentaux mènent une Guerre Humanitaire contre le Burundi [ http://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/ ].
Au Conseil de Sécurité de l’ONU, la France, et accessoirement les USA, mettent à chaque session le Burundi à l’Agenda. L’idée étant de pousser les dirigeants du Burundi vers la Cour Pénale International ( CPI ) pour leur avoir résister en 2015. La demande du Ministre NIBIGIRA fait suite à l’ abus de pouvoir au siège du Conseil de Sécurité de l’ONU, de la France ( et des USA ), qui, au nom de leurs intérêts propres, et non ceux de la Communauté Internationale, mettent le Burundi chaque fois à l’Agenda et, ce,en total contradiction au droit international.
L’Esclavage et la Colonisation, crimes contre l’Humanité, ont fait plus de 300 Millions de victimes Amérindiennes et Africaines. Les responsables de ces crimes n’ont jamais été poursuivis par un quelconque Tribunal Pénal Internationale. Ainsi les descendants des anciennes familles d’Esclavagistes et de Colons occidentaux sont devenus de véritables prédateurs. En témoignent ces dernières années, le Génocide au Rwanda, le pillage des ressources en RD Congo, les agressions contre la Côte d’Ivoire et le Vénézuéla, et les destructions du Mali, de la Libye, du Yémen, de la Syrie, de Afghanistan, de l’Irak etc.
DAM, NY, AGNEWS, http://burundi-agnews.org, Mardi 8 octobre 2019