Pour la prochaine session du dialogue inter-burundais ( externe ) à Arusha du jeudi 16 février 2017 au samedi 18 février 2017, le CNDD-FDD ne s’assiégera pas aux côtés des putschistes et des responsables de l’insurrection de 2015 ( cfr. Révolution de couleur au Burundi en 2015 ), recherchés par la justice burundaise et protégés actuellement par les Occidentaux et le Rwanda.
A Bujumbura, ce mardi 14 février 2017, M. Evariste Ndayishimiye, Secrétaire Général du parti CNDD-FDD ( 1ère formation politique au Burundi ), a annoncé que son parti ne siégera pas avec les personnes poursuivies par la justice burundaise ( cfr. dossiers insurrection et putsch 2015 ), lors de la prochaine session du dialogue inter-burundais ( externe ) à Arusha du jeudi 16 février 2017 au samedi 18 février 2017.
Le CNDD-FDD demande leur arrestation par les autorités tanzaniennes, une fois arrivée à Arusha en Tanzanie.
Au Burundi, le dialogue interburundais externe a débuté, de manière forcée, sous le joug de S.E. Mzee Museveni ( Président de l’OUGANDA ), après le coup d’état militaire raté du mercredi 13 mai 2015, exécuté par le Réseau de l’ex-dictateur HIMA burundais BUYOYA Pierre ( en fuite depuis lors du Burundi ). L’objectif pour l’administration OBAMA, la France, et la Belgique, qui étaient les cerveaux de cette affaire aidée par le Rwanda, était de tenter, avec ce dialogue, de remettre sur les rails leurs réseaux burundais qui venaient d’être grillés sur l’échiquier politique burundais, suite à cette RÉVOLUTION DE COULEUR RATÉE.
DAM, NY, AGNEWS – http://burundi-agnews.org , le mardi 14 février 2017