26ème édition de la Journée internationale de la liberté de la presse – Les journalistes sont devenus des soldats qui mènent des GUERRES MEDIATIQUES, pour le compte des MULTINATIONALES.
A Bujumbura, à la Maison de la presse, ce mercredi 3 mai 2017, M. Bankumukunzi Nestor, ministre burundais des Postes, des Technologies de l’information, de la Communication et des Médias, a ouvert les célébrations de la 26ème édition de la Journée internationale de la liberté de la presse, en présence de M. Karenga Ramadhani, président du Conseil National de la Communication (CNC), Mme Ntahobari Joséphine, déléguée du bureau de l’UNESCO au Burundi, et de Mme Mugugu Denise, présidente de la Maison de la presse.
2 thèmes sont à l’honneur cette année 2017 : 1/ « Des esprits critiques pour des temps critiques ; le rôle des médias dans la promotion des sociétés pacifiques, justes et inclusives » ; 2/ « La liberté de la presse, la protection et la sécurité des journalistes et la responsabilité sociale ».
Voici quelques pensées de la journée :
– M. Bankumukunzi : « la liberté de chacun se termine là où la liberté de l’autre commence … Faites usage de cette liberté avec professionnalisme »;
– M. Karenga Ramadhani : Les responsables des médias doivent se conformer au cadre de régulation des médias ( la loi sur la presse );
– Mme Ntahobari Joséphine : La sécurité des journalistes et la liberté de la presse n’ont pas de prix ;
– Mme Mugugu Denise : « Ceci nous interpelle particulièrement dans notre pays, car jusqu’ici, rien ne filtre sur la poursuite de ceux qui ont assassiné et fait disparaitre nos confrères Christophe Nkezabahizi et Jean Bigirimana, à qui nous rendons hommage aujourd’hui, ainsi qu’aux harcèlements répétitifs contre les journalistes pendant leurs missions de travail … si la censure est une menace sur la liberté de la presse et le droit à l’information, l’autocensure en est une autre, et s’en débarrasser, c’est tout un processus ».
Au Burundi, les MEDIA PRIVES sont très mal vus. Car, comme certains politiciens en Occident, les journalistes sont devenus des consultants pour MULTINATIONALE. En 2015, les journalistes burundais de certains MEDIA PRIVES BURUNDAIS ont en majorité tous participé à la RÉVOLUTION DE COULEUR ou TENTATIVE DE CHANGEMENT DE REGIME ( COUP D’ETAT MILITAIRE RATE DU MERCREDI 13 MAI 2015 ) orchestrée notamment par le Milliardaire Américain SOROS, philanthrope à ses heures, mais HOMME D’AFFAIRE avant tout, grand actionnaire dans de nombreuses multinationales, notamment présentes dans la région des GRANDS LACS AFRICAINS.
La plupart de ces MEDIA PRIVES BURUNDAIS étaient financés par des RESEAUX ( ONGs, fondations, œuvres caritatives, etc. ) PROCHES de nombreux PATRONS de multinationales occidentales, agissant au niveau minier en AFRIQUE.
En cette journée internationale de la liberté de la presse, c’est dommage d’élucider les sujets du financement des journalistes, de leur éthique, mais surtout du MONOPOLE des grands médias internationaux TOUS aux mains de quelques poignets de Milliardaires, en même temps actionnaires ou patrons de Multinationales.
CELA NE SENT PAS TRES BON LA LIBERTE ! MAIS PLUTOT LA CONFUSION DU GENRE !
En 2015, au nom de la GUERRE ECONOMIQUE OU GÉOSTRATÉGIQUE que mène, contre LA CHINE, ces MILLIARDAIRES ACTIONNAIRES OU PATRONS DE MULTINATIONALES OCCIDENTALES ET PATRONS DES GRANDS MEDIA MONDIAUX, un BURUNDI VIRTUEL -TRES NEGATIF – a été créé au niveau national ( par le biais des MEDIA PRIVES LOCAUX ) et international (MEDIA INTERNATIONAUX ), provoquant à cause de la RUMEUR MEDIA, un exode de Burundais vers les pays voisins ( LES FAMEUX RÉFUGIÉS BURUNDAIS cfr. HCR ). Il s’agit d’un CRIME CONTRE L’HUMANITE ( Pousser un GROUPE à l’EXIL par la PEUR … ) réalisé avec l’arme médiatique.
Ce BURUNDI VIRTUEL NEGATIF ( L’OBJET MEDIATIQUE CRÉE ), dit BURUNDI EN CRISE, créé en 2015 et celui, jusqu’aujourd’hui, qu’utilise DES DIPLOMATES ( BELGES, FRANCAIS, AMERICAINS …) consultants de ces MULTINATIONALES, ou les THINK-TANK du RESEAUX SOROS ( Reporters sans frontières RSF , FIDH, HRW, etc.) au niveau DES DROITS DE L’HOMME ou de la LIBERTE DE LA PRESSE, pour mener une GUERRE HUMANITAIRE contre les AUTORITÉS DU BURUNDI.
Brèf la LIBERTE DE LA PRESSE est réellement en DANGER. LE FAMEUX 4EME POUVOIR EST AUX MAINS D’UNE POIGNE DE GENS PARTAGEANT LA MEME VISION. Les pays ne sont pas capables ( ou outillés ) de faire face à ces MILLIARDS DE DOLLARS (USD) injectés par ces ACTIONNAIRES MILLIARDAIRES ( MULTINATIONALES ) pour fabriquer des IMAGES DE GUERRE MÉDIATIQUE CONTRE UNE SOCIÉTÉ … La moralité ( ou l’éthique ) des JOURNALISTES est donc mise à rude épreuve ! LES JOURNALISTES DEVIENNENT DES SOLDATS OU DES MERCENAIRES …
DAM, NY, AGNEWS, http://burundi-agnews.org, le jeudi 4 mai 2017