{jcomments on}2010, ce sont les 3èmes élections démocratiques au Burundi. Depuis les scrutins du mois de mai , il apparait désormais 3 groupes politiques sur la scène rundi qui se dégagent : – L’Uprona (Le Dictateur Buyoya) [6,25 %] ; – le Cndd-Fdd [64,03 %] ; et – l’ADC Ikibiri [entre 12,65% et 26,8%]. Ce qui chagrine, c’est la terreur, l’’agressivité (agressions à la grenade, le massacre de Rukoko , le boycotte des Présidentielles et Législatives –rejet des principes démocratiques- etc.) de l’ADC Ikibiri, malgré la Charte de bonne conduite signée par les organisations politiques qui la compose au début de l’année 2010. De plus la volonté -dangereuse- de l’ADC Ikibiri de faire alliance de manière officieuse avec le FDLR, les mécontents du régime rwandais actuel (officiers ex-APR), ou encore avec les Shebbabs somaliens et leurs réseaux … Tout cela parce que – certains partis politiques – ne digèrent pas leurs défaites aux Communales.

 

Les acteurs de la société rundi






ADC-IKIBIRI => Coalition de partis  comprenant : [ FEDS-SANGIRA ( 0% aux élections communales ), ADR ( 0%),FRODEBU ( 5,43% ),UPD (2,21 ), CDP ( 0%), PPDRR( 0%), FNL (BAGAYA/RWASA – BIGIRIMANA) ( 14,15% ), PARENA( 0% ), MSD( 3,75% ), PIT ( 0% ), CNDD Nyangoma ( 1,26 %), RADEBU (0%) ] Total : l’ADC -IKIBIRI (un rapport de force variant entre 12,65% et 26,8%, selon que le FNL divisé soit pris en compte ou pas. Signalons les deux FNL …).


Juin :

Au cours d’une conférence de presse, l’alliance des démocrates pour le changement au Burundi (Adc Ikibiri) [- Présents Alexis Sinduhije président du Msd, Chauvineau Mugwengezo de l’Upd et Léonard Nyangoma du Cndd. -] dément les informations selon lesquelles ils veulent créer l’insécurité dans le pays.

-Léonard Nyangoma dément les informations sur la déstabilisation des institutions burundaises. Auparavant, le ministre des relations extérieures M. Augustin Nsanze, devant les diplomates accrédités à Bujumbura, faisait savoir que les membres des partis politiques réunis au sein de l’Adc-Ikibiri avaient des visés de vouloir déstabiliser le pays.

– Communiqué des « partis de l’opposition »  à l’issu des Communales : – « Les partis politiques d’opposition rejettent en bloc les résultats des élections Communales en raison des fraudes et des irrégularités massives les ayants entachées … » . La Ceni, la Société civile, et les observateurs internationaux, eux, ont salué le très bon déroulement des élections. Les partis de l’opposition, membres de l’Alliance des démocrates pour le changement au Burundi (ADC), dans un texte commun, considèrent la déclaration de la communauté internationale comme signe de “mépris pour le peuple burundais”. Léonard Nyangoma dénonce -le mépris- de l’envoyé spécial de la Belgique.

– Communiqué : Inconstitutionnalité et illégalité de l’élection -Présidentielle à candidature unique et des élections communales du 24 mai 2010.

L’Adc-Ikibiri se dit inquiète des graves violations des droits de l’homme dans le pays.

Anicet Niyonkuru, président du parti Cdp, dénonce que plusieurs personnes, membres des partis politiques formant la coalition Adc-Ikibiri, sont la cible d’assassinats sélectifs afin de les faire taire définitivement. [Ce dernier oublie de dire que cette organisation Adc-Ikibiri est à l’origine de l’insécurité électorale après une défaite aux Communales mal digérée en mai].

-Mot liminaire de la conférence de presse tenue par la coalition ADC-IKIBIRI à Bujumbura – Thème central : Dénonciation des massacres et assassinats politiques commis sous couvert de simulacres électoraux. Fait à BUJUMBURA le 30 juin 2010 –Pour l’ « ADC-IKIBIRI », Honorable Nyangoma Léonard, Porte-Parole.

-Le président du parti Cndd, le député Léonard Nyangoma salut la visite du secrétaire général des nations Unies Ban Ki-moon au Burundi au nom de l’Alliance des démocrates pour le Changement. Son souhait derrière cet acte, est d’espérer que Ban Ki-moon change d’agenda pour parler avec les membres des partis politiques d’opposition qui rejettent les résultats des communales et qui se sont retiré du reste des scrutins à organiser prochainement. [Ban Ki-moon ne les recevra pas. L’ADC est considéré comme mauvais perdante].


Juillet :

-Mot liminaire de l’ADC après les “élections présidentielles”-

-ADC diaspora appelle au boycott des élections législatives – « Pour un sursaut national

burundais, sauve la paix et la démocratie en danger, boycotte les élections législatives de complaisance … Nous, membres et sympathisants des partis d’opposition regroupés au sein de l’Alliance pour le Changement Démocratique (ADC-IKIBIRI) et membres de la Diaspora burundaise d’Europe, d’Afrique, d’Australie, d’Asie et du continent américain … Pour l’ADC-IKIBIRI à l’étranger, Aimé MAGERA, Contactez nous sur: adc-diaspora-ikibiri2010@hotmail.com».

-L’opposition boycotte la mise en place des conseils communaux au Burundi.

La coalition ADC-IKIBIRI condamne les massacres qu’elle dit « commises par le Gouvernement à RUZIBA ». En réalité, il s’agissait d’une intervantion des forces de sécurité dans la zone Ruziba en commune Kanyosha de la mairie de Bujumbura.

-Le parti PPDRR-Abavandimwe claque la porte de l’ADC-Ikibiri. C’est du moins l’esprit d’une déclaration de cette formation politique signée par le président du parti, M. Aloys Baricako.


Septembre :

-Déclaration de l’ADC Ikibiri à l’étranger (Pour les membres des partis de l’opposition à l’étranger regroupés au sein de l’ADC-IKIBIRI, Aimé MAGERA, Coordonnateur, sé )


Octobre :

-Conférence de l’ADC Ikibiri à Bruxelles – Le Burundi au bord de l’implosion: ou les effets attendus d’un hold-up électoral (Par Anicet Niyonkuru, Président du Parti CDP)




FNL-PALIPEHUTU => FNL :


Janvier :

– 4 blessés dans des heurts entre jeunes du Cndd-Fdd et militants des FNL / Affrontement hier à Kinama des jeunes des Fnl et ceux du Cndd-Fdd.

Selon Agathon Rwasa, la présidence de la république ne paye pas son loyer. Le Directeur général de l’INSS explique « Ce n’est un secret pour personne, la présidence de la République est logée dans une maison en location qui, en réalité appartient à l’INSS ; comme de nombreux autres locataires des 171 maisons de l’INSS éparpillées dans le pays, la présidence et la vice-présidence ne paient pas leur loyers ; cela fait que l’INSS a un manque à gagner de près de 500 millions de francs burundais ».


Février :

-L’administration de Gashoho interdit le FNL d’ouvrir sa permanence à Bigera.

– La sénatrice Habanabashaka pense qu’elle est devenue l’ennemi du Gouverneur de Bubanza parce qu’elle vient de quitter le Cndd-fdd pour adhérer au Fnl. Notons que Habanabashaka Pétronie est l’un des six sénateurs qui ont démissionné au Cndd-fdd pour adhérer le Fnl ou l’Upd-Zigamibanga.


Juin :

-Après son retrait de la course à la présidentielle, Agathon Rwasa opte pour le boycott des conseils communaux.

-Accusé d’être à l’origine de la campagne des attaques à la grenade, le porte-parole du parti Fnl (Force Nationale de Libération) répond en se dit lui-même préoccupée par ces attaques à la grenade qui surviennent en cette période électorale. Selon Jean Bosco Havyarimana, ces attaques suscitent des doutes … Mais les observateurs ne sont pas de son avis.


Juillet :

– Le FNL de Rwasa, mauvais perdante, va-t-il être pousser à reprendre le maquis ?

Le porte-parole du Fnl, Jean Bosco Havyarimana explique la décision de radiation de Jacques Bigirimana par le fait que ce dernier a outrepassé les règles du parti, strictes et claires, en matière de communication : «Personne ne peut se donner le droit de parler au nom de notre parti, car il y a ceux qui ont cette prérogative de par notre règlement intérieur.» … D’où le vice-président du FNL, Alfred Bagaya annonce la radiation des rangs du parti de Jacques Bigirimana et Pascal Mbonimpa, tous membres du Bureau politique pour fautes graves.

-Le FNL appelle ses militants à boycoter les élections parlementaire (Jean-Bosco Habyarimana).


Août :

-Lettre des représentants du FNL au ministre de l’intérieur.


Septembre :

-Lettre de Rwasa au secrétaire général de l’ONU.

-Alfred Bagaya est désemparé par l’arrestation des membres de son parti, accusé de perturber la sécurité nationale (ex. Tueries de Rukoko).


Octobre :

-Division de la population de la zone Nyambuye jusque dans les rondes nocturnes entre le parti CNDD FDD et ceux du parti FNL.

-Mémorandum du parti FNL d’Agathon Rwasa :« Le Burundi traverse une période dangereuse sur le plan politico-sécuritaire.» C’est le contenu d’un mémorandum sorti par le parti FNL d’Agathon Rwasa , faite par Alfred Bagaya, Vice-président de ce parti divisé …




CNDD-FDD :


Janvier :

– 4 blessés dans des heurts entre jeunes du Cndd-Fdd et militants des FNL.

-Qui prendra la première place sur la liste des députés pour les scrutins 2010 en province de Bubanza entre le gouverneur de cette province, Pascal Nyabenda, le député Jean – Marie Sesema, le 2ème vice-président de la République, Gabriel Ntisezerana ainsi que Manassé Nzobonimpa, aujourd’hui député du parlement de l’east african community ?

Tension en commune Mpanda entre CNDD/FDD et UPD.


Février :

-Mis sur la sellette par les médias de l’opposition comme figurant parmi les dignitaires qui perçoivent salaires et avantages indus ,l’honorable Onésime NDUWIMANA, PDG de la SOCABU et porte-parole du CNDD-FDD dément preuve à l’appui les allégations diffamatoires mises sur la voie des ondes par la radio Bonesha et l’OLUCOME .


Mars :

– Déclaration du Parti CNDD-FDD sur le rapport de International Crisis Group, ICG, sur le Burundi : « Garantir un processus électoral crédible »

Selon le CNDD-FDD :«  … ce rapport injuste augure malheur et désespoir en dépit de tous les efforts déployés actuellement pour jouir des élections justes, libres et transparentes au cours de l`année 2010 … Le rapport de l`ICG en question démontre la partialité de cette organisation … La déclaration de l`ICG sonne comme une prophétie de malheur quant à l`aboutissement des futures élections … Que des partis politiques de l`opposition tentent de rattraper l`avance du CNDD-FDD sur eux en matière de réalisations pour le pays en exagérant parfois sur les situations, c`est encore explicable, mais qu`une organisation dite neutre relaie des mensonges et affiche ses faiblesses en faveur de tel ou tel autre courant politique, reste incompréhensible et inacceptable…»

-Plus de 500 responsables du parti CNDD-FDD en retraite à Ngozi. Selon le président du parti présidentiel, Jérémie Ngendakumana, l’objectif de cette retraite est de voir les critères dans l’élaboration des listes électorales. Cette rencontre a eu lieu à huis clos.


Avril :

-Le Président Nkurunziza est désigné le candidat du CNDD-FDD.

– Une coalition de dix partis politiques pour des élections “apaisées, libres et transparentes” vient de voir le jour dont le Conseil national pour la défense de la démocratie/Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD, au pouvoir). Selon le président du CNDD-FDD, Jérémie Ngendakumana, la coalition entend ainsi participer “activement à la consolidation de la paix et de la démocratie” et à l’édification d’un Etat de droit” au Burundi.


Juin :

-Communiqué du CNDD-FDD d’Amérique du Nord et de l’Europe – « … les partis d`opposition ont essuyé une écrasante défaite. Au lieu d`accepter le verdict des urnes, ces partis se sont empressés de crier à la fraude massive, à l`intimidation, à l`achat des consciences, à l`inféodation de la CENI au pouvoir, à l`impartialité des observateurs tant nationaux qu`internationaux y compris le PNUD, bref, ils ont tout fait pour présenter ces élections comme une énorme escroquerie… Nous avons tous suivi en direct à la radio, minute par minute, grâce à la coalition de 15 stations, le déroulement des opérations de vote dans la plupart des communes du pays. S`il y a bien eu quelques irrégularités, nulle part on a signalé des « fraudes massives » ou des incidents pouvant remettre en cause les élections. Et tous les journalistes ne roulent pas pour le CNDD-FDD !». [Come Nahabakomeye(USA : Atlanta, Georgia) Jean Baptiste Hajayandi(USA : New York) Emmanuel Mpfayokurera(USA : Washington, DC) Bugerere Séverin (Belgique) Aimé Emmanuel Nibigira (Espagne, Portugal et Andorre) Déo Rugemintwaza(France) Jean Marie Claude Nkeshimana(Italie) Melchior Bigirimana(Pays Bas) Déo Major(Royaume-Uni) Macaire Bacamurwanko(Suède/ Scandinavie) Bahati Constantin(Suisse)]

– Le porte-parole du Cndd-Fdd, Onésime Nduwimana, exprime sa déception envers les médias locaux de n’avoir pas eu la spontanéité d’organiser une synergie des médias au profit du candidat présidentiel, à l’instar de celle qui a caractérisé la campagne des communales.

Le parti Cndd-Fdd se dit préoccupé par ces attaques (notamment à la grenade) qui visent à faire reculer la démocratie. Le porte-parole du Cndd-Fdd, Onésime Nduwimana, demande à la police de faire des enquêtes pour connaitre l’identité des malfaiteurs. Il appelle au calme la population en général, et les fidèles de son parti en particulier, en attente des enquêtes.

Entretemps,quatre maisons abritant les permanences du CNDD-FDD, sont brûlées dans la nuit à Rumonge, dans la province de Bururi (Sud).

-La journaliste Aline Dusabe de la section Swahili de radio Bonesha ( proche de l’Extrême Droite Hima Burundaise) de part ses propos non neutre en vers le CNDD-FDD est en conflit ouvert avec les Bagumyanga. Le summum du conflit a pris des proportions importantes lorsque cette journaliste est venu -provoquer- à Kanyosha la veille d’un meurtre qui a coûté la vie à un membre important du Cndd-Fdd dans cette commune urbaine de la capitale. Le président de l’union burundaise des journalistes (Ubj) M. Alexandre Niyungeko jugera « indigne » le comportement des militants du Cndd-Fdd en commune Kanyosha.


Juillet :

-A Nyakabiga, les bagumyabanga promettent une vie “très bonne” et “très propre” lors d’un meeting de campagne.


Septembre :

-Le parti Cndd-Fdd demande à l’Alliance des Démocrates pour le Changement (ADC-Ikibiri) de se désolidariser avec les criminels qui ont tués des dizaines de citoyens Barundi près de la forêt de la Kibira et celle de la Rukoko.


Octobre :

-Division de la population de la zone Nyambuye jusque dans les rondes nocturnes entre le parti CNDD FDD et ceux du parti FNL.




UPRONA :


Janvier :

-Une certaine diaspora [des exilés anciens du G10, les associations d’extrême droite Hima burundais etc.] se mobilise pour un vaste mouvement politique autour de l’Uprona.


Février :

Le drapeau du Parti Union pour le Progrès National UPRONA est déchiré publiquement par le chef de colline Gahwazi en commune et province de Ngozi.


Mars :

-Deux présidents des partis politiques, M. Alexis Sinduhije du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD) et M. Bonaventure Niyoyankana de l’Union pour le progrès national (UPRONA) sont au chef-lieu de la province Rutana (sud-est) pour animer des réunions …

-L’Uprona, non-négociateur de Charles Mukasi, s’exprime sur les questions politiques et économiques de l’heure.


Juin :

-Communiqué de l’UPRONA à l’issu des Communales où il a obtenu 6% des votes « … sur le déroulement des élections communales … le Parti UPRONA constate qu’à

travers tout le pays des fraudes et irrégularités ont été commises à grande

échelle. Elles ont été matérialisées par les violations suivantes du Code

Electoral… ». L’Uprona est perçu comme mauvais perdante … La Ceni, la Société civile, et les observateurs internationaux, eux, ont salué le très bon déroulement des élections.

– L`ancien chef d`Etat et sénateur à vie S.E Pierre Buyoya ( Uprona – le Dictateur sanguinaire, celui des camps de concentration au Burundi …) accorde une interview à la radio internationale française (RFI). Il évoque la situation politique qui prévaut actuellement au Burundi, et pour donner ses propres évaluations. “Ce qui est le plus regrettable dans cette situation est que les gens n`ont pas voulu suivre la voie légale pour faire valoir leur revendication”. En même temps, il ne rejette pas l’idée d’un report de 10 jours des prochaines échéances électorales pour permettre un dialogue entre les parties dont il se propose lui-même ouvertement médiateur. Le dictateur Buyoya, profitant du retrait de son parti politique l`UPRONA du processus électoral, et de la visite du Secrétaire Général des Nations Unies au Burundi, sort de son silence pour se prononcer publiquement sur ces élections. Aux yeux de nombreux observateurs, le choix de ce moment n`est cependant pas un simple hasard. Tout d`abord, de sources bien informées, le Président Buyoya a joué un rôle actif dans le retrait tardif de son parti du reste du processus électoral.

L’Uprona annonce le retrait de son candidat, le docteur Yves Shahinguru à la présidentielle du 28 juin au Burundi, laissant seul en lice le président sortant Pierre Nkurunziza.

Le candidat de l’Uprona rejoint ainsi cinq autres candidats de l’opposition.

Les observateurs de l’Union européenne affirme que les élections communales se sont déroulées dans le respect des normes internationales. Les représentants de la communauté internationale au Burundi regrette la décision des partis d’opposition de se retirer de la présidentielle et les appelle à revenir sur leur décision.

A moins de 24 heures de l’arrivée de Ban-Ki-Moon, l’Uprona aile Mukasi expose déjà ses angoisses.

-Le parti Uprona préoccupé par la situation du moment.


Juillet :

-L’UPRONA, l’un des six partis d’opposition qui a retiré ses candidats de l’élection présidentielle du 28 Juin au Burundi, annonce qu’il prendra part à l’élection des députés.

Le président de cette formation en mairie de Bujumbura M. Poppon Mudugu lance un appel à tous ses militants et sympathisants de répondre massivement aux élections législatives prochaines. Le Docteur Yves Sahinguvu invite les militants de la galaxie des partis politiques ligués au sein de l’ADC-Ikibiri à voter pour l’UPRONA au lieu de boycotter ce scrutin.

-L’Uprona de Mukasi (Extrême Droite Hima Burundaise) condamne la participation des Mugumyistes aux prochaines législatives (l’Uprona de Mugumya formé par « les buyoyistes). Me Gabriel Sinarinzi, président a.i, énumère une série d’accusations contre les membres de l’Uprona de Mugumya. Il déclare à propos de la reprise des élections par les buyoyistes. Le Parti UPRONA est et reste dans l’opposition extra- parlementaire pour maintenir le cap de la lutte contre le génocide pour la restauration d’un Etat de droit au Burundi (Slogan pour dérouter l’opinion internationale).

-L’Union pour le progrès national (Uprona), seul parti d’opposition à avoir participé aux législatives de au Burundi, déclare à l’issu de ces dernières « satisfait du déroulement du scrutin … ».


Août :

L’UPRONA a décidé autrement. Yves Sahinguvu est obligé de retirer sa candidature à la 1ère vice présidence. Ce sera Térence Sinunguruza …


Septembre :

-Les membres de l’Uprona sont divisés suite à sa nomination à la première Vice-présidence de la République. Des Badasigana sont contre M. Sinunguruza à ce poste. Les partisans de la candidature du Dr Yves Sahinguvu signent une pétition pour limoger Bonaventure Niyoyankana, actuel président de l’Uprona, qui soutient la nomination de M. Sinunguruza.




FRODEBU :


Mars :

-Le parti Sahwanya Frodebu sort un communiqué de presse dans le quel il demande au Gouvernement d’arrêter la brutalité envers l’enseignement en mettant en avant les sanctions pour éviter de dialoguer avec les syndicalistes.


Juillet :

-Le président du groupe parlementaire du parti Frodebu, Pierre Claver Nahimana, juge que durant les cinq ans de législature, le travail du Parlement a été à la fois facile et difficile.

Anatole Kanyenkiko (ministre des travaux publics) démissionne de tous les organes du Frodebu. Il refuse de cautionner un avenir incertain de son parti.




MSD :


Février :

-Le parti MSD organise un spectacle au Canada à Toronto – Donald Mugisha- MSD CANADA Representative –thème : So you can change the course of history / Contact Régis Rugema.

Le parti Msd accuse (sans preuve) le pouvoir d’être derrière l’assassinat de deux personnes en commune urbaine de Cibitoke au nord de Bujumbura.


Mars :

-Deux présidents des partis politiques, M. Alexis Sinduhije du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD) et M. Bonaventure Niyoyankana de l’Union pour le progrès national (UPRONA) sont au chef-lieu de la province Rutana (sud-est) pour animer des réunions …

– Le ministre de l’intérieur Edouard Nduwimana suspend les primaires du MSD « Nous constatons que certains partis politiques organisent des primaires pour désigner leurs candidats à différents postes de responsabilités, ce qui est une bonne chose. Mais nous regrettons que le MSD ait lancé ce vendredi un appel à ses militants et à tous les burundais, alors que la seule autorité habilitée à convoquer les électeurs est le chef de l’Etat par décret présidentiel »


Avril :

-Combien de Burundais ont-ils voté lors des primaires du MSD? Le MSD parle de 28% de votant en sa faveur.

-Le congrès du MSD officialise la candidature de Sinduhije-


Mai :

-Conférence du MSD à Oslo.


Juin :

-Le parti Msd sort un communiqué de presse à l’intention de la communauté internationale et nationale. Il tranquillise les membres du corps diplomatique que le torchon ne brûle pas entre ceux-ci et les partis d’opposition en général et le Msd en particulier. [L’ADC s’oppose à la satisfaction de la Communauté internationale suite aux Communales].




UPD :


Mars :

-Pascaline Kampayano, une femme courageuse et déterminée sera la candidate de l’UPD.


Juin :

-Le parti Upd-Zigamibanga annonce que la candidate à la présidence de ce même parti Mme Pascaline Kampayano a été kidnappée par la police à Cibitoke. Elle risque de passer la nuit en prison dans des conditions déplorable, regrette le porte parole de l’Upd.





CNDD :


Février :

-Le parti Cndd (opposition) dit ne pas comprendre ce qu’attend le Gouverneur de Makamba pour constater la vacance du poste d’administrateur dans trois communes de la province. Selon le porte parole du Cndd, François Bizimana, le code électoral actuel stipule en son article 188 que chaque personne qui quitte son parti perd immédiatement son poste …


Mars :

-Nyangoma désigné candidat à l’élection présidentielle pour le compte du CNDD. Le candidat présidentiel Léonard Nyangoma promet de “vaincre la pauvreté dans 5 ans” ainsi que l’arrêt de la privatisation anarchique des entreprises de l’Etat sans oublier la réouverture de la, Complexe Textile de Bujumbura (Cotebu).


Juin :

Le président du Cndd qualifie de « barbare » le comportement de l’administration à Ngozi. . L’objet du déplacement des leaders CNDD à Ngozi était d’expliquer à leurs militants les raisons qui les ont poussés à boycotter la prochaine présidentielle. Mais le gouverneur de province, sur ordre venu de Bujumbura transmis par le ministre de la sécurité publique, s’est opposé catégoriquement à cette rencontre.




ADR :


Février :

-Le parti Adr demande aux autres partis politiques de faire des listes des candidats suivant les compétences intellectuelles. La présidente de ce parti, Alice Nzomukunda, se dit déçue par le fait que la Constitution burundaise semble légitimer l’exclusion car cette constitution ne parle pas de compétence intellectuelle mais parle plutôt d’ethnie.


Mars :

Témoignage d’Alice Nzomukunda sur la vente illicite du Falcon 50. – La vente du jet présidentiel, le Falcon 50 a été émaillée des irrégularités comme le dit Mme Alice Nzomukunda, vice-présidente de la République d’alors …

Alice Nzomukunda, est candidate à l’élection présidentielle de juin 2010




MRC :

Juin :

Le Mrc ne participera pas aux législatives prochaines. Le parti Mrc recommande à la Ceni d’envisager le glissement du calendrier électoral et l’élargissement des Cepi et des Ceci en vue de réorganiser les votes pour les conseillers communaux là où il y a des contestations. Il a aussi suggéré que les élections communales soient combinées avec celles des députés afin d’éviter des dépenses supplémentaires.




EXTREME DROITE HIMA BURUNDAISE


Janvier :

-Les membres de AC GENOCIDE (Extrême Droite Hima Burundaise) se rencontrent de nouveau pour se souvenir des milliers de Tutsi et d’autres Hutu modérés massacrés au cours du génocide contre la minorité tutsi [Rappel le régime militaire Hima sous la Dictature, dont les membres d’AC Génocide étaient des privilégiés, a fait 2,5 millions de victimes barundi ]


Février :

AC-Génocide (Extrême Droite Hima Burundaise) répond présente au rendez-vous de la mémoire vigilante.

Mars :

L’Uprona, non-négociateur de Charles Mukasi, s’exprime sur les questions politiques et économiques de l’heure.


Juin :

« Le tandem CENI/CNDD-FDD bat l’opposition à plate couture ».(SurviT-Banguka) [Il s’agit de l’humour de l’Extrême Droite Hima Burundaise ]

-A moins de 24 heures de l’arrivée de Ban-Ki-Moon, l’Uprona aile Mukasi expose déjà ses angoisses.

Pétition de soutien à Alain Ndabambalire, un membre d’AC Genocide Canada (Extrême Droite Hima Burundaise) menacé d’expulsion du Canada

-Quand l’armée burundaise combattait encore le génocide -“Burundi-information.net” (Extrême Droite Hima Burundaise) – [ Nostalgie des ex-Forces de l’Armée Burundaise FAB – armée de la dictature militaire des Bahima -] « … Nous poursuivons notre série sur les discours des responsables de l’armée burundaise avant qu’elle ne se retrouve sous la coupe des milices terroristes et génocidaires CNDD-FDD et FNL … ».


Juillet :

-Le quota ethnique actuellement sont mis en doute au sein de la police nationale du Burundi. La question qui se pose au sein de l’opinion, selon NETPRESS (Extrême Droite Hima Burundaise) est celle de savoir si les 50 % prévus par les Accords d’Arusha -respectivement aux Tutsi et aux Hutu – sont actuellement respectés.

-L’Uprona de Mukasi (Extrême Droite Hima Burundaise) condamne la participation des Mugumyistes aux prochaines législatives (l’Uprona de Mugumya formé par « les buyoyistes). Me Gabriel Sinarinzi, président a.i, énumère une série d’accusations contre les membres de l’Uprona de Mugumya.

Selon “Burundi-information.net” (Extrême Droite Hima Burundaise) , il est grand temps de redresser la nation burundaise qui continue à sombrer dans le gouffre où l’a plongé l’organisation terroriste et génocidaire CNDD-FDD … [ En effet, pour ce courant, le CNDD/FDD est l’empêcheur de tourner en rond car il a fait perdre aux Bahima barundi le pays qu’ils détenaient depuis 1965.]

-(Extrême Droite Hima Burundaise) AC GENOCIDE CIRIMOSO commémore le 14ème anniversaire du « génocide des tutsi de Bugendana » sur fonds de constat amère: les auteurs sont impunis et restent au pouvoir; les rescapés, toujours dans la désolation. L’organisation terroriste-génocidaire CNDD-FDD a commis une véritable hécatombe … [ Le CNDD/FDD a détrôné le régime des Bahima du pouvoir qu’ils détenaient depuis 1965. Il s’agissait d’un régime militaire qui en 40 ans a fait plus de 2,5 millions de victimes barundi].


Septembre :

Ac-Génocide Cirimoso (Extrême Droite Hima Burundaise) invite encore une fois ses membres et sympathisants à la journée commémorative de ce qu’elle appelle – la lutte contre le génocide des Tutsi déclenché le 21 octobre 1993 -.



PARENA

Janvier :

-Le président du Parena estime que la gratuité des soins de santé et des frais de l’éducation est un leurre.



FROLINA :


Février :

-Le parti Frolina accuse la justice burundaise d’être corrompue jusqu’aux dents. Selon le président de ce parti Joseph Karumba, il faut immédiatement des réformes pour sauver la justice burundaise sinon le peuple n’aura jamais confiance en cette justice qu’il qualifie de corrompue.

( DAM,NY,AGNEWS, le 21 octobre 2010 )

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